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enthalte eine Bestimmung auf den allgemeingültigen Maßstab und
obersten Zielpunkt für jedes mögliche Rechtssystem !?.
Das eine ist zweifellos: eine historisch gedachte Grundlage
ist bei RoUSSEAU der Staatsvertrag für die Entstehung des
Staates nicht mehr?®. Das geht mit Evidenz aus den Worten ?
hervor: Il y a mille maniöres de rassembler les hommes, il n’y
en a qu’une de les unir. C’est pour cela que je ne donne dans
cet ouvrage qu’une methode pour la formation des societes poli-
tiques, quoique, dans la multitude d’agreations qui existent
actuellement sous ce nom, il n’y en ait peut-ötre pas deux qui
aient et& formees de la mäme maniere et pas une qui lait
et& selon celle que j’etablis. Mais je cherche le droit et la
raison, et ne dispute pas des faits. Durch den Vertragsschluß
wird, während bisher Unrecht geherrscht hat, der logische Grund
für das Recht gesetzt. Aber RoussEAU erhebt die Forderung
eines wirklichen Vertragsschlusses für die Zukunft. Darin kommt
ihm also HUFELAND nahe. Und bei diesem Vertragsschluß
hat der einzelne Mensch die Befugnis, den Beitritt abzulehnen.
Iln’y a qu’une seule loi qui, par sa nature, exige un consentement
unanime; c’est le pacte social: car l’association civile est l’acte
du monde le plus volontaire; tout homme e6tant n& libre et
maitre de lui-möme nul ne peut, sous quelque pretexte que ce
puisse &tre, l’assajettir sans son aveu ®®, Und weiter: Si donc, lors
du pacte social, il s’y trouve des opposants, leur opposition n’in-
valide pas le contrat, elle empäche seulement qu’ils n’y soient
compris: ce sont des etrangers parmi les citoyens??®. Weiter,
der Vertragsabschluß kann auch fingiert werden: habiter le terri-
1% LIEPMANN |]. c. 95.
20 cf. HAYMANN 58,
21 Du contrat social. 1. Entwurf Buch I cap. 5. (Ausgabe von DREY-
FUS-BRISAC 262).
22]. c. Buch IV cap. 2. 186.
23 jbid.