352 Anhang.
Tacceuillir favorablement. V. M. en accorlant à ma recoman-
dation la place due sollicite Mr. de Preuss, m’'aura donné une
nouvelle preuve de Sa bionveillance et de son amitié.
Je suis, Sire etc.“
22.
Napoleon an Friedrich August, Seerhausen 7. October 1813,
Abends 10 Uhr: „Mr. mon freère, j ai porté aujourdrhui mon
duartier genéral au chätenn de Seerhausen. Tai regu des
nouvelles de Leipzig de ce matin. Tout y était trangquillo et
benucoup de troupes #y Ctaient centralisces. Je serai demnin
de bonne heure à Dahlen et je pense qu'faprès- demain les
opérations Ccommenceront. II conviendmit due V. M. put se
rendre demnin avec la division Curial à Oschntz etc.“
23.
Napoleon an Friedrich August, Wurzen 8. October 1813:
„Monsicur mon frèro. Je suis arrivé à Wurzen. I1 y
a rien de nouvenu. Je pense due demain V. M. fera bien
de venir junqu'ici.
P. S. Comment la Reine et la Princesse Auguste se trou-
vent-elles du voyage?“
24.
Napoleon an Friedrich August, Düben 10. October 1813,
abends: „Monsieur mon frre. Les affaires s’engagent de tous
cotées. Les arméCes de Silesie et do Berlin se sont concentrées
sur Dessau en grande häte, ce qui nous a mis à meme de
leur faire qduelque centaines de prisonniers. — Jai fait lever
le siegS de Wittonberg, od mes premières., divisions sont arri-
véeS. — Comme le principal but des ennemis dtait d’arriver
à Leipzick et sur la Saale, jai pensé, qw’il Jy aurait plus de
süreté à ce due V. M. restait toujours aveo Parmöoe. La
fatigue, due cela occasionnera à la Reine et à la Princesse,
Sera componsée par moins d’inquictude.“