chef et aux officiers Préposés à lex-
tradition des déserteurs, et de la part
de la Russie et de la Pologne au Gé-
néral commandant dans la province
Prussienne la plus proche; les réquisi-
tions relatives aux individus mention-
nés à Partiche 1., sous les lettres b. etc.,
FFadresseront de la part de la Prusse
aux autorités militaires et civiles de
HRussie ou de Pologne les plus ä proxi-
mité, et de la part de la Russie et de
la Pologne, à la régence provinciale
Prussienne la plus à Portée.
Article 5.
Comme il pourrait arriver qu'’un
individu, avant sa désertion du service
de PTune ou de Fautre des Hautes
Parties Contractantes, edt déserté des
troupes d’un autre Souverain, ou d’un
autre Ktat, avec lequell’une des llautes
Parties contractantes aurait conclu
une Convention de cartel, le déser-
teur n'’en sera Pas moins rendu 4 har-
mee, du’il aura désertée en dernier
lieu.
Article 6.
I est expressément défendu aux
autorités militaires et civiles respec-
tires Tengatzer au service militaire on
civil de leur Souverain un individu,
dont la désertion du service actif de
Pautre Elat n’est pas douteuse oune
serait méme due Probable. Elles ne
laisseront Passer aux frontières ni au-
cun sous- ollicier, ni aucun sol-
dat de Tarmée de Etat limitrophe, à
moinsqwilne soit muni d’un Passeport
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teure vorgesetzten Offiziere, Koaiserlich-
Russischer oder Königlich-Polnischer Seirs
aber an das Generalkommando der näch-
sten Preußischen Provinz gerichtet; wo-
gegen die Requisitionen, welche sich auf
Individuen der im Artikel 1. unter b. und
. erwähnten Klassen beziehen, Königlich-
Preußischer Seits an die nächsten Rus-
sischen oder Polnischen Militair= und
Zivilbehörden, und Kaiserlich-Russischer
oder Königlich-Polnischer Seits an die
nächste Preußische Provinzial-Regierung
zu richten sind.
Artikel 5.
Da der Fall eintreten könnte, daß ein
Individuum, bevor es aus dem Dienste
des einen oder des andern der hohen kon-
trahirenden Theile entwichen ist, schon
von den Truppen eines andern Son-
verains oder eines andern Staats, mit
welchem einer der hohen kontrahirenden
Theile eine Kartelkonvention geschlossen
hat, desertirt wäre, so soll gleichwohl ein
solcher Ueberlaufer derjenigen Armee aus-
geliefert werden, von welcher er zuletzt
desertirt ist.
Artikel 6.
Den beiderseitigen Militair= und Zivil-
behörden ist ausdrücklich untersagt, ein
Individuum, dessen Desertion aus dem
jenseitigen aktiven Dienste als gewiß oder
selbst nur als wahrscheinlich anzunehmen
ist, in den Militair= oder Zivildienst ihres
Souverains aufzunehmen; auch dürfen
sie keine Unteroffiziere oder Soldaten der
lenseitigen Armce auf der Grenze durch-
gehen lassen, wenn sie nicht mit einem
Passe oder Abschiede von dem Chef oder