Full text: Deutsches Kolonialblatt. XXVII. Jahrgang, 1916. (27)

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confluent à la Likona par une ligne pointillee, 
d’on il apparaissait clairement due s'’est de la 
Likona seule due l’oon avait entendu s'occuper; 
bien plus, il fut constaté plus tard par l’explo- 
ration de Mr. Massari due la Likona-Nkundja 
de la carte concordait, dans sa direction géné- 
rale, aver la Likona ou Likouala. Point 
„apital, d’ailleurs, P’interprétation de I’Etat du 
Congo permettait lI’exécution littérale et com- 
pléte du traité; on pouvait, en effet, d'un point 
en amont de la Likona (Likouala) rejoindre 
le 1757½e degré en suivant le bassin de cette 
ririèr#e. II était impossible, au contraire, si 
le point d'intersection se trouvait au deld de 
I’'Oubangui, de rejoindre ce méridien sans 
couper la rivière et s'éloigner de sa ligne de 
faite. Une délimitation faite dans ces condi- 
tions devait nécessairement violer la Conven- 
tion du 5 février. 
Une eirconstance nouvelle compliqua d’'’une 
manièere inattendue la situation déja si difficile 
où l'on se trouvait. 
La commission de delimitation s'’tait réunie 
et les représentants de I’Etat du Congo avaient 
signés avec leurs collegues français, le 26 jan- 
vier 1886, un proeès-verbal qdui fixait le point 
d’'’intersection de la frontière commune en amont 
du confluent de I'Oubangui. IIs 8'taient 
laissés guider par les indications de la carte 
et la concordance de latitude dont la France 
faisait si grand état. Et contrairement aux 
instructions qui leur avaient &4é données, ils 
avaient négliges de procéder préalablement à 
la rédaction du procès-verbal, à des investi- 
Zations sur le cours inférieur de la Likona au 
sujet duduel on était réduit jusqu'alors à des 
conjectures et à des hypothèeses. II8 n’avaient 
pas remonté la rivière et avaient omis de 
rechercher s'il y avait ou non une conneité 
en un endroit duelconque, entre elle et I’'Ouban- 
gui; les commissaires reconnaissaient d’'ailleurs 
dans leur procès-verbal due le point initial de 
la frontieère Etait placé en amont de l'Oubangui; 
i. devenait impossible de compléter la délimi- 
tation en se renfermant dans les termes de la 
convention du 5 février. Leur mission n’'était 
qdufincomplèetement accomplie car ils s’'étaient 
hornés à deéterminer le seul point d’aboutisse- 
ment de la frontière sur la rive droite du 
Congo, sans procéder à une délimitation com- 
plète dui aurait, au moins, eclu toute diffi- 
culté dans ’avenir. 
Ces considérations determindrent le Gou- 
vernement de I’Etat du Congo à faire les plus 
formelles réser ves au sujet d’un acte qui, loin 
de résoudre le litige pendant, éEtait de nature 
punktierte Linie, woraus sich klar ergibt, daß 
man sich nur mit dem Likona beschäftigen wollte; 
im übrigen wurde durch die Erforschungen 
Massaris später erwiesen, daß der Likona-Nkundja 
der Karte in seiner allgemeinen Richtung mit 
dem Likona oder Likuala zusammenfiel. Ein 
wesentlicher Punkt war, daß die Auslegung des 
Kongostaates die wörtliche und vollständige Aus- 
führung des Vertrages gestattete; man konnte in 
der Tat von einem Punkt oberhalb des Likona 
(Likuala) den 17. Grad erreichen, indem man 
dem Gebiet dieses Flusses folgte. Im Gegensatz 
hierzu war es unmöglich, wenn der Schnittpunkt 
sich jenseits des Ubangi befand, diesen Meridian 
zu erreichen; ohne den Fluß zu kreuzen und sich 
von seiner Wasserscheide zu entfernen. Eine 
unter solchen Umständen ausgeführte Abgrenzung 
mußte notwendigerweise das Abkommen vom 
5. Februar verletzen. 
Ein neuer Umstand verwickelte in einer un- 
erwarteten Weise die an sich schon schwierige 
Lage, in der man sich befand. 
Die Abgrenzungskommission war zusammen- 
getreten und die Bevollmächtigten des Kongo- 
staates hatten am 26. Jannar 1886 mit ihren 
französischen Gefährten ein Protokoll unterzeichnet, 
das den Schnittpunkt der gemeinsamen Grenze 
oberhalb der Mündung des Ubangi festlegte. Sie 
hatten sich hierbei von den Angaben der Karte 
und von der übereinstimmung der Breite, die 
von französischer Seite so betont wurde, leiten 
lassen. Im Gegensatz zu der erhaltenen An- 
weisung hatten sie es unterlassen, vor Feststellung 
des Protokolls die Erforschung des Unterlaufs 
des Likona vorzunehmen, über den man bis 
dahin nur auf Mutmaßungen und Hypothesen 
angewiesen war. Sie waren den Fluß nicht 
hinaufgefahren und hatten unterlassen zu unter- 
suchen, ob sich zwischen ihm und dem Ubangi 
an irgendeiner Stelle eine Verbindung befand 
oder nicht. Die Kommission erkannte in dem 
Protokoll übrigens an, daß der Anfangspunkt 
der Grenze sich stromaufwärts des Ubangi befand; 
damit wurde die Beendigung der Grenzabsteckung 
unmöglich, wenn man sich an den Wortlaut des 
Abkommens vom 5. Februar halten wollte. Ihre 
Aufgabe war nur unvollständig erfüllt, denn sie 
hatte sich darauf beschränkt, den einzigen End- 
punkt der Grenze an dem rechten Kongonfer 
festzustellen, ohne zu einer vollständigen Grenz- 
feststellung zu schreiten, die wenigstens für die 
Zukunft jede Schwierigkeit beseitigt haben würde. 
Diese Erwägungen veranlaßten die Regierung 
des Kongostaates, die förmlichsten Vorbehalte hin- 
sichtlich einer Verhandlung zu machen, die, weit 
entfernt, den schwebenden Streit zu lösen, nur
	        
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