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taires et à ceux des Etats, membres de la
Sociélé des Nations, qdui deviendront parties
la présente convention. Dans cet esprit, les
missionnaires auront le droit d’entrer, de cir-
culer et de résider sur le territoire africain,
aveec faculté de s' établir pour poursivre leur
(Cuyre religieuse.
T’abplication des dispositions prévues aux
deux alinéas précédents ne comportera pas
d’autres restrictions que celles qui seront né-
Cessaires au maintien de la sécurité et de Tordre
publies ou qui résulteront de I’application du
droit constitutionnel de chacune des puissances
exercant Tautorité dans les territoires africains.
Article 12.
Les puissances signataires conviennent qdue,
s'i! venait à s'élever entre elles un différend
quelconque touchant l’application de la présente
convention et ne pouvant éetre réglé par voie
de négociation, ce différend devra etre soumis
un tribunal d’arbitrage conformément aux
dispositions du pacte de la Société des Nations.
Article 13.
Sauf les stipulations visées à l’article 10•
de la présente convention, l’acte général de
Berlin du 26 février 1885, et Tl’acte général
de Bruxelles du 2 juillet 1890, ainsi qdue la
déclaration en date du memc jour, seront con-
sidérés comme abrogés, en tant qu’ils lient
entre elles les puissances qui sont parties à
la présente convention.
Article 14.
Pourront adhérer à la présente convention
les Etats qui exercent Tautorité sur des terri-
toires africains et les autres Etats membres
de la Societé des Nations, qdui étaient parties
soit à T’acte de Berlin, soit à l’acte de Brugelles
ou à la déclaration yannexée. Les puissances
signataires feront tous leur efforts pour obtenir
T’adhésion de ces Etats.
Cette adhésion sera signifiée, par la voie
diplomatique au gouvernement de la République
française et par celui-ei à tous les Etats signa-
taires ou adhérents. Elle portera effet à dater
du jour de Sa signification au gouvernement
francais.
Article 15.
Les puissances signataires se réuniront à
T’expiration d’'une période de dix ans, à dater
de la mise en vigueur de la présente conven-
tion, pour apporter à celui-ei les modifications
due Dexpérience aura rendues nécessaires.
La présente convention sera ratikice le plus
töt possible.
bundes, die dem gegenwärtigen Vertrage bei-
treten, ausdrücklich gewährleistet. In diesem
Geiste haben die Missionare das Recht des Zu-
tritts, der Reise und des Aufenthalts auf afrika-
nischem Gebiet und die Freiheit der Niederlassung,
um ihre religiöse Aufgabe zu erfüllen.
Die Anwendung der Bestimmungen der beiden
vorhergehenden Absätze wird nur solche Ein-
schränkungen erfahren, die zur Aufrechterhaltung
der Sicherheit und der öffentlichen Ordnung not-
wendig sind oder sich aus der Anwendung des
Verfassungsrechtes einer jeden der Mächte, die
in den afrikanischen Ländern behördliche Gewalt
auslbt, ergeben.
Artikel 12.
Die Vertragsmächte kommen überein, daß eine
etwa zwischen ihnen wegen der Anwendung des
gegenwärtigen Vertrages entstehende Streitfrage,
die im Wege der Verhandlung nicht erledigt
werden kann, einem Schiedsgericht gemäß den
Bestimmungen der Völkerbundssatzung zu unter-
breiten.
Artikel 13.
Vorbehaltlich der Bestimmungen des Artikels 1
des gegenwärtigen Vertrages gelten die Berliner
Generalakte vom 26. Februar 1885 und die
Brüsseler Generalakte vom 2. Juli 1890 ebenso
wie die Deklaration von dem gleichen Tage im
Verhältnis zwischen den an dem gegenwärtigen
Vertrage beteiligten Mächten als aufgehoben.
Artikel 14.
Dem gegenwärtigen Vertrag können die
Staaten, die behördliche Gewalt über afrikanische
Länder ausüben, und die sonstigen Staaten,
soweit sie Mitglieder des Völkerbundes und Ver-
tragsmächte, sei es der Berliner Akte oder der
Brüsseler Akte und der ihr angeschlossenen De-
klaration, sind, beitreten. Die Vertragsmächte
werden alle Anstrengungen machen, um den Bei-
tritt dieser Staaten zu erreichen.
Der Beitritt wird auf diplomatischem Wege
der Regierung der französischen Republik und
durch diese allen Vertragsstaaten, einschließlich
denjenigen, die ihm beigetreten sind, angezeigt
werden. Er tritt mit dem Tage der Anzeige an
die französische Regierung in Kraft.
Artikel 15.
Die Vertragsmächte werden nach Ablauf einer
Periode von zehn Jahren nach dem Inkrafttreten
des gegenwärtigen Vertrags zusammentreten, um
diejenigen Abänderungen zu beschließen, die die
Erfahrung notwendig gemacht haben wird.