444 XIX. Der Friedensvorschlag des Papstes und der „englische Friedensfühler“
des Kardinals die Schere genommen und den Briefkopf des Briefes von Balfour
an den Gesandten weggeschnitten, damit das Dokument jeden diplomatischen Charakter
verliere. Gasparri habe alsdann das Aide-Memoire dem Nuntius Pacelli mitgeteilt.
„Le Temps“ vom 29. Juli 1919.
Les alliés et la Saint-Sisge en 1917.
Une Declaration de M. Ribot.
Nous avons eu Ihonneur d'’étre reçgus par M. Ribot, dui était président du
conseil et ministre des affaires étrangères à l’'époque ou se place H’incident raconte
par M. Erzberger. M. Ribot, tout en nous laissant entendre du’il aurait cer-
taines réserves à faire sur des déclarations qui ont ét½é publiées ce matin, et dont
le texte ne lui avait pas ét4é6 communiqué au préalable, nous à autorisé à rapporter
sa Conversation dans les termes suivants:
II est exact due le gouvernement français et le gouvernement britannique ont
é44é d’accord pour ne pas répondre à la note du Saint-Siège avant due I’Allemagne
n'eüt elle-méme fait savoir à quelles réparations et à quelles garanties elle éCtait
disposée à consentir. Le ministre britannique auprès du Saint-Siège fut invité à
saisir Toccasion d’expliquer au cardinal Gasparri du’'aucun pas sérieux ne pourrait
Stre fait tant due les puissances centrales nm’'auraient pas fait savoir leurs desseins,
notamment en ce qui concerne la Belgiqgue. Lorsdue le gouverement francais
connut les instructions données au ministre britannique auprès du Saint-Siège, i1
exprima le désir due ce diplomate füt également chargé d’associer verbalement la
France à la réponse du gouvernement britannique. Le ministre britannique prit sur
lui de laisser une note au cardinal Gasparri, au cours de cette Conversation qui ne
pouvait étre due purement officieuse.
Le cardinal Gasparri s'en autorisa pour adresser au nonce à Munich la
dépéche qdui vient d’étre publice. Conformement aux vues exprimées par le gou-
vernement françgais, le gouvernement britannique sentit qu'’il pouvait étre dangereux
de nous laisser engager dans une discussion tout au moins prématurée, et il donna,
en conséquence, des nstructions à son ministre auprès du Saint-Siège.
Voila à qduci se réduit Pincident. Ce qdu'’il faut en retenir, Cest due l'Alle-
magne, pressée par le Saint-Siège de s'expliquer nettement sur ses intentions à
D’égard de la Belgique, a refusé de le faire. II est trop clair qur’en acüt et sep-
tembre 1017 PAllemagne mM’était aucunement décidée à nous rendre I’Alsace et la
Lorraine, ni méme à restituer à la Belgique son entière indépendance.
12.
Behandlung unserer spanischen Vermitllung in London.
Bei Erledigung der von Staatssekretär v. Kühlmann an den spanischen
Gesandten in Brüssel Villalobar gerichteten Anfrage kam es zu gewissen
Eifersüchteleien zwischen dem spanischen Gesandten und dem spanischen
Minister des Außeren oder Ministerpräsidenten. Soweit ich nachträglich,
d. h. im Jahre 1919, unterrichtet wurde, hat die deutsche Regierung
nie eine Antwort erhalten. Im übrigen ist noch vieles unklar. In London
war es nach der „Iswestia“ noch zu einer Botschafterbesprechung gekommen: