officiellement reconnus comme leurs
fondẽs de pouvoir, sans qu'ils soient
tenus de justifier de leur mandat
par un titre spécial.
IIs pourront, en consequence, Se
Présenter, soit en personne, soit par
des déelégues choisis parmi les per-
sonnes, qui y sont autorisées par
la Egislation du pays, par devant
les autoritécs compétentes, pour y
Prendre, dans toute affaire se rap-
Portant à la succession ouverte, les
intéréts des héritiers, en poursuivant
leurs droits ou en répondant aux
demandes formées contre eux.
Ils sont néanmoins tenus de por-
ter à la connaissance des e xécuteurs
testamentaires, S’il en existe, ou des
héritiers présents ou düment repré-
Sentés, toute réclamation qui leur
Serait présentée contre la succession,
afin qdue les exécuteurs ou les héri-
tiers puissent opposer leurs excep-
tions, Sil yF a lieu.
II& pourront organiser tout de
méme la tutelle ou curatelle de
leurs nationaux pour tout ce qui
concerne la succession, conformeé-
ment aux lois de leur pays.
II est toutefois bien entendu due
les consuls- gGenéraux, consuls et
vice-Consuls étant considérés comme
fondés de pouvoirs de leurs natio-
naux, ne pourront jamais étre per-
somnellement mis en cause relative-
ment à toute affaire concernant la
succession.
ARTICLE XXIII.
Les droits de succession, ainsi que
le partage des biens laissés par le
défunt, seront régis par les lois de
son payxs.
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mächtigten derselben anzuerkennen, ohne
daß sie verpflichtet wären, ihren Auf-
trag durch eine besondere Urkunde nach-
zuweisen.
Sie sollen demgemäß in Person oder
durch Vertreter, welche sie aus den
landesgesetzlich dazu befugten Personen
erwählt haben, vor den zuständigen Be-
hörden auftreten können, um in jeder
sich auf den Nachlaß beziehenden Ange-
legenheit die Interessen der Erben wahr-
zunehmen, indem sie deren Rechte geltend
machen oder sich auf die gegen dieselben
erhobenen Ansprüche einlassen.
Sie sind jedoch verpflichtet, zur Kennt-
niß der Testamentsvollstrecker, wenn
solche vorhanden sind, oder der gegen-
wärtigen oder vorschriftsmäßig vertretenen
Erben jeden Anspruch zu bringen, wel-
cher bei ihnen gegen die Nachlaßmasse
erhoben sein sollte, damit die Vollstrecker
oder die Erben ihre etwaigen Einreden
dagegen erheben können.
Sie sollen gleichfalls die Vormund-
schaft oder Kuratel über ihre Landes-
angehörigen für alles auf die Nachlaß-
regelung Bezügliche in Gemäßheit der
Gesetze ihres Landes einleiten können.
Es versteht sich jedoch von selbst, daß
die Generalkonsuln, Konsuln und Vize-
konsuln, da sie als Bevollmächtigte ihrer
Landesangehörigen betrachtet werden,
niemals wegen irgend einer die Succession
betreffenden Angelegenheit persönlich ge-
richtlich in Anspruch genommen werden
dürfen.
Artikel XXIII.
Das Erbrecht, sowie die Theilung
des Nachlasses des Verstorbenen richten
sich nach den Gesetzen seines Landes.