Zwölfter Artikel. Die vorhergehenden Bestimmungen (Artikel eins, zwei, vier, fuͤnf, sechs, sieben und neun) sollen ebensowohl auf die Schiffahrt zur See, wie auf die Flußschiffahrt Anwendung finden, so daß namentlich in Beziehung auf Abgaben von der Waare, auf Abgaben der Schiff— fahrt, sei es für das Schiff oder für die Ladung, ferner hinsichtlich der Patent- und aller anderen Abgaben oder Auflagen irgend ei- ner Art oder Benennung, die Schiffe des ande- ren vertragenden Theiles weder mit anderen noch mit höheren Abgaben belegt werden kön- nen als denjenigen, denen die National-Schiffe unterliegen. Dreizehnter Artikel. Die beiderseitigen Consulu sollen befugt sein, die Matrosen, welche von Schiffen ihrer Nation desertirt sein sollten, festnehmen zu las- sen und sie an Bord oder in ihre Heimath zu- rückzusenden. Zu diesem Zwecke werden sie sich schriftlich an die zuständigen Ortsbehörden wenden und durch Mittheilung der Schiffs-Re- gister oder der Musterrolle oder durch andere amtliche Dokumente, im Original oder in ge- hörig beglaubigter Abschrift, den Beweis füh- ren, daß die reklamirten Individuen zu der betreffenden Mannschaft gehört haben. Auf die in solcher Weise gerechtfertigte Reklamation soll die Auslieferung nicht versagt werden kön- nen. Es soll ihnen aller Beistand gewährt werden für die Aufsuchung und Festnahme der gedachten Deserteurs, welche verhaftet und in den Gefängnissen des Landes auf Requisition und auf Kosten der Consuln so lange in Ver- wahrsam gehalten werden sollen, bis die Con- Article douzieme. Les stipulations qui préceèdent (articles premier, deuxième, quatrième, cinquieme, Sixzièeme, Septième et neuvième) Sappli- duent à la navigation tant maritime que fuviale, de manière que, nommément par rapport aux droits de douane, aux droits de navigation, pesant Soit Sur les navires, Soit Sur les chargements, aux droits de patente ainsi qu’a tous autres droits ou charges de qduelque nature ou dénomina- tion que ce soit, les navires appartenant à Tautre partie contractante ne pourront étre imposés de droits autres ou plus clevyés due ceux dont sont frappés les navires nationaux. Article treizieme. Les Consuls respectifs pourront faire arréter et renvoyer scit à bord soit dans leur pays, les matelots qui auraient dé- Serté des bätiments de leur nation. A cet eflet, ils Sadresseront par éCcrit aux auto- rités lOcales Compétentes, et justilieront, par Texhibition en original ou en copic düment certilice des registres du bätiment ou du röle déquipage ou par Tautres de- cuments ofliciels, que les individus qu'ils réclament faisaient partie du dit quipage. Sur cette demande ainsi justillée la re- mise ne pourra leur étre refusée. II leur Sera donné toute aide pour la recherche et Tarrestation des dits déserteurs quise- ront méme détenus et gardés dans les maisons Tarrét du pays à la réqumsition et aux frais des Consuls jusqun ce due Ces agents aient trouvé une occasion de les faire partir. Si pourtant Ccette occxa- 2*