W 123 e. Protokoll Nr. 2 abgesteckt und hierbei dieselbe Ent- fernung zu 50 589,30 m gefunden. Er habe seinen Punkt am Seeufer 5 m südlich von dem der deutschen Kommission gefunden. Dies Resultat halte er für ein sehr befriedigendes, da gemäß Instruktion den Kommissionen eine Differenz von 3“ in Breite oder von 92,172 m gestattet worden sei, während die gefundene Abweichung nur 0,81 betrage. Man einigte sich auf das Mittel der beiden Längenmessungen, nämlich auf 50 582,80 m, und auf das Mittel der Breitenabweichung, nämlich auf 2,5 m, und markierte den Punkt des Parallels am See um 2,5 m südlich vom Punkte der deutschen Kommission. Hierauf wurde die Frage des gegenseitigen Gebietsaustausches erwogen, behufs Ausnutzung des durch natürliche Grenzen gebotenen Vorteils. Als allgemeiner Grundsatz wurde aufgestellt, daß das zum Austausch vorgesehene Gebiet mög- lichst gleichwertig und gleichartig sein müsse, also auch nahe beieinander liegen solle, und daß sonst der Grenzparallel bei der Vermarkung nicht zu verlassen sei, ausgenommen wenn eine dicht dabei liegende Kuppe es ermöglichen sollte, einen Grenz- bfeiler besser sichtbar zu machen. Von vornherein war man darüber einig: 1. den Msinje-Fluß als natürliche Grenze zu benutzen von seiner Vereini- gung mit dem Rowuma an bis zu dem Punkt, wo er 1045 m weiter westlich vom Grenzparallel geschnitten wird, so daß das von seinem rechten Ufer und dem Grenzparallel umgrenzte Stück Land mit 652 678 qm Fläche zum portugiesischen Ge- biet gehören soll. 2. Den Lauf des Msinje weiter als natürliche Grenze zu benutzen bis zur Einmündung eines Baches in sein linkes Ufer etwa 3 km westlich und von hier an diesen Bach zu benutzen bis zu seinem Schnittpunkt mit dem Grenzparallel etwa 5700 m westlich vom Vereinigungspunkt Msinje- Rowuma, so daß das vom linken Msinje-Ufer, dem Bach und dem Parallel umgrenzte Stück Land von 3 857 300 am deutsches Gebiet werden soll. Weiter westlich soll die Grenze bis zu dem nach Mtengula führenden Wege dem Grenzparallel solgen, der bereits durch den Wald auf eine Länge von 12 600 m abgesteckt ist. Vom Mtengula-Wege bis zum Gebirge folgt die Grenze einer Linie, die diesen Punkt mit einem kleinen Gipfel verbindet, der 318,15 m nördlich vom Grenzparallel liegt. Dadurch wird ein Stück von 1 304 880 am por- lgiesisch. Es sind dann noch 1 899 742 qm deutscherseits abzugeben, um den Msinje-Streifen zu kompensieren. Durch Führung einer Linie vom vorgenanten Gipfel bis zu einem 10,6 km westlich ausf indications qdu'’il a données au Procès- Verbal No. 2. La distance du'il a trouveée est de 50 589 m, 30. II a trouvé Sson peint d’intersection au bord du lac à 5m au sud de celui de la commission allemande. II est d’avis due Cce résultat est très satisfaisant, vu due les instructions accordent aux com- missions une tolérance de 3“ en latitude, ou de 92 m, 172, la différence trouv#ée n’'stant due de 0“,81. On convint de prendre la moyenne, soit;: 50 582 m,80 pour la distance, et 2 m, 5 pour la différence des latitudes, et on marqua le point d’intersection du paralldle avec le bord du lac à une distance de 2 m, 5 au sud du point trouvé par la commission allemande. Puis on examina la question des Schanges réciproques de territoires, en vue des avantages d'une frontière naturelle. On établit comme principe général due les terrains à GCchanger devaient avoir autant due possible la méme valeur et étre de méme na- ture, et que, par conséquent, ils devaient étre proches P’un de I’autre, et que, autrement, on ne 8S’'écarterait pas de la frontière pour le bornage, 4 moins qu’il ne se trouve tout pres un mamelon onu I’on puisse mettre une borne plus facilement visible. De prime abord on fut d’accord: 1. De prendre comme frontière naturelle le Msinje, depuis son confluent avec le Rovuma jusqu'au point d’intersection avec le parallèle, point situé à 1045 m vers Il'ouest, de sorte qdue le terrain délimité par sa rive droite et le parallèle frontière et ayant une superficie de 652 678 m. c. ferait partie du territoire portugais. 2. De reprendre le cours du Msinje comme frontière naturelle, jusqu'’au point odn il recoit, sur sa rive gauche, une rivière, à peu pres à trois kilometres vers l’ouest. A partir de ce point, la frontière suivrait cette rivière jusqufä son point d’intersection avec le pa- rallèle frontière, à peu près à 5700 m à D’ouest du point TW’intersection Msinje-Rovuma, de sorte due le terrain délimité par la rive gauche du Nsinje, par la rivière et le parallèle, et mesurant 3 857 300 m. c. serait territoire alle- mand. Plus loin, vers l'’ouest, la frontière devra, jusqu'’au chemin qui conduit à Mtengula, Suivre le parallele frontière déjà tracé à travers la foréèt par un layon de 12 600 metres. Du chemin de Mtengula jusqu'à la montagne, la frontière suit une ligne allant de ce peint jusqu’'’à une eime peu élevée située à 318 m, 15 au nord du parallèle frontière. Par cette délimitation une superficie de 1 304 880 me.e. deviendra territoire portugais, et il restera