W 142 20 donner la défense de son pays dans un mo-!s ment aussi critique que maintenante. Am 11. August schrieb der mit der Bearbei Circonstance tung dieser Eingabe im Kolonialministerium be- auftragte Beamte zu derselben: »de propose de classer purement et simple-- ment. Le département u'a aucun pouyoir pour réclamer meme momentanemeent le sieur Martin. Le pays M’'a pas d’intétret à verser dans le rang un officier condamné meme en bremier degré pour des actes monstrueux du genre de ceux reprochés au sieur Martin.“ Ein Genosse dieses Martin, der Tierarzt Ferdinand Hubert, war wegen extorsion par violences, attentat à la pudeur, outrages auzx bonnes moeurs, arrestations arbitraires, détour-- nement usw. angeklagt. Er hatte, zum Teil in Begleitung des Martin, den Eingeborenen ihr Großvieh gewaltsam geraubt und dasselbe zu seinem Vorteil an portugiesische Händler verkauft, ebenso wie Vieh aus Herden, die dem Staat ge- hörten. Zur Charakteristik der Sittlichkeitsver- brechen, deren er und mehrere andere Angestellte angeklagt waren, seien hier nur einige Anklage- punkte angedeutet: .. ... 11. en novembre 1911 à Tshamba, se trouvant en eompagnie d'Ar- boulot et Souville, avoir obligé la femme Nalesh, à lui faire l'onanisme buccal 2 avoir ...attenté à la pudeur des nommés Zama, Galula et Nalesh en obligeant le nommé Zama à avoir en sa présence des rapports pour se livrer à des razzias de bétail en terri- toire portugais. Je me suis demandé par duel concours de le commandement de troupes placées à la frontière et chargées de la paci- lication d'une région troubléc était exercé par un vötérinaire. C'est ainsi, due j’#ai appris duc le dit IIlubert remplissait à Dilolo les fonctions de chef de poste. II faut se rappeler qu’aprs l’arrangement qdui a mis fin en 1910 à notre différent ave- le Portugal à propos du lac Dilolo, des in- structions avaient 6té envoyées en Afrique à Pinitiation de la 1. direction générale pré- serivant de prendre des mesures à Pelfet d’étendre notre autorité sur la région pré- Ccédement contestée dont les habitants avaient completement Schappé à notre influence. C'’tait au poste de Dilolo qu'était réservé cette action politique qui requiait du tact et de Texpérienre. Voilid due nous apprenons duc la direction en a 6té confiée à un vötérinaire. II est arrivé ce qui se serait produit simeme Iß0## véEtérinaire ’avait pas été un misérablei le rapport politique du Kasai pour 1911 nous sexuels, ou à les simuler, avec la nommée Galula . 14. avoir .. obligé la petite Lon- gesa, ägée d'’environ 10—11 ans, à lui faire Ponanisme buccaol 16 avoir obligé le boy Mazele à avoir des rapports sexuels, Ou à les simuler, avec une femme très agée sur la terrace de sa maison. Im Juli 1914 vom Appellgericht zu 2½ Jah= ren verurteilt, wurde er im Maison Centrale in Elisabethville interniert, obwohl seine Eltern und Freunde wiederholt Gnadengesuche für ihn ein- reichten. Diese Vorgänge veraulaßten den stets eifrig um eine Säuberung des belgischen Kolonial- beamtentums bemühten Legationsrat Orts fol- genden Stoßseufzer zu den Akten zu geben: J’ai recu communication d'’un dossier judi- ciaire concernant le nommé Hubert, voteri- naire, accusé d’avoir commis des excès, des actes de pillage et de violences sans nombre dans la région de Dilolo (frontière portugaise). Notamment ce fonctionnaire se serait rendu dans IAngola avec une troupe de soldats pour y rẽaliser le produit de ses rapines ou méme aurait dẽjà appris que tout le ressort du poste de Dilolo cétait dans un état de trouble grave. Pour ce seul excereiee l'administration du vGté- rinaire Iubert enregistrait 32 indigènes tués. C’est un nouve! exemple des bien laits qgue l'achministration belge assure aus populations qui lui Ssont confiées: Lorsqu’felle a odecupé la rive 0. du lac Albert le sang y a coulé aussitöt, au Kivu notre administration à peine installée, provoquait des troubles et de justes Pplaintes, au Dilolo elle pille ’indigeène et le massacre. Dans cc dernier enas les responsabilités ne reposent pas exclusivement sur l’auteur des mélaits, ni mme sur ses chefs directs qui n'ont cessé de réclamer le personnel in- dispensable pour administrer les territcires qui leur sont confiés. II ne suffit pas d’'’ordon-- ner à Fadministrations locale d’occuper des hterritoires, il laut encore lui en fournir les moyens. Le Gouvernement central ne Fuequitte Das de „c dekvoir en jetant dans #ec pays duelques individus incapables, dominés par# dles instinets primitifs et privés de Girection dui y portent la ruine. Cet ineident met en lumière, d’autre part. une eurieuse erreur de ’administration. On peut se demander en effet quel röle un Vétérinaire et un éléveur de bétail étaient