W 28 20 Promet son amitié à I'/Association et à I'Etat dont celle-cri fonde P’indépendance, dqu’elle compte due la proclamation de l’indépendance du nouvel Etat se fera à bref délai, qu'elle en reconnaitra les limites et la configuration (das könnte weit führen) lorsqu'elles lui au- ront été notifices (carte blanche 2) et qu'elle traitera des maintenant le pavillon bleu à 6tolle dor Comme celui d’un pouvoir Souverain. Declaration de I'/Association Internationale du Congo. Par des traités conclus (par qui?) avec les Souverains légitimes dans les bassins du Bas Congo jusque prés de son embouchure, du Haut-Congo et des tributaires de ce fleuve, dans les territoires adjacents, dans le bassin du Niadi—Kuilou, et les territoires voisins, 1 Asseciation Internationale du Congo s’est. assuré des concessions en vue principalement de préparer dans I’Afrique Equatoriale la création d'un Etat indépendant, qui s'étendrait de I'Atlantique vers les Ppossessions du Sultan de Zanzibar (nicht blöde). L'Association, pour elle et pour I'Etat indépendant qdui sera placé sous la haute direction des successeurs mäles de Léopold II., Roi des Belges, a adopté le drapeau bleu a étoile d'or. L'Association, au nom de l'Etat indépendant qui sera appelé à lui suceéder et pour les territoires qui composeront celui-ci, déclare étendre à I’Allemagne le bénéfice perpétuel des stipulations contenues dans la declaration qu’elle a Cchangée avec les Etats Unis de IAmériqdue du Nord le 22 avril 1884 (à Préciser). En conséquence il ne sera Das établi de droits de douane (aber Gebühren?) sur les marchandises ou articles de commerce importés dans les territoires de I’Association ct de IiEtat surmentionné ou transportés Dar la route qui a 66 construite le long des cataractes du Congo, et cela en vue d’aider le commerce à penétrer dans I'Afrique Eduatoriale. Les étrangers (Allemands) qui s'établiront" dans les dits territoires, y jouiront des droits coommerciaux (welche sind dies?) accordés aux habitants de ces territoires, ils auront le droit d'’acquérir, de vendre ou de louer les terrains ou bätiments y situés, d’y établir des maisons de commerce et d'’y trafiqucr sous la seule condition de se conformer aux lois. (Diese Gesetze können der Art sein, daß sie jede Zusage illusorisch machen').) *) Mit prophetischem Blick hat Bismarck hier die Hindernisse vorausgesehen, die der Kongostaat später zur Blütezeit seiner Domanialpolitik dem Grunderwerb En outre il ne sera jamais accordé aux citoyens d’une nation qduelconque aucun avan- tage qdui ne scit immcediatement étendu aux citoyens de toutes les autres nations (Alle- mands), et I'Association ainsi due I’Etat indé- Pendant formé par elle feront tont ce qui sera en leur pouvoir pour empècher le commerce des esclaves (gleichgültig). En foi de qduci, le soussigné .. düment, autorisé par I’Asscciation Internationale du Congo agissant pour elle-mêéme et pour le dit Etat indépendant, a signé la présente declaration et yaà apposs . (Vollmacht?) Seine Meinung über diesen Vertragsentwurf ließ der Reichskanzler durch seinen Sohn Herbert am 1. Juli dem Auswärtigen Amt von Varzin aus in folgenden lapidaren Sätzen zugehen: „S. D. erachtet den Vorschlag des Königs der Belgier für zu allgemein und zu weitgehend. S. M. gehe mit einem so naiven und anspruchsvollen Egois- mus vor, als ob er ein Italiener wäre, der voraussetze, daß man pour ses beaux yeux außerordentlich vicl tun würde, ohne ein Aquivalent zu verlangen. Den- selben Eindruck hat S. D. bereits von dem Schreiben des Königs an ihn gehabt, dessen Tendenz sehr unver- blümt bezweckt hätte, unsere Hilfe für die eigentümlichen und schwer realisierbaren Pläne des Königs zu benutzen, ohne irgendeine genau präzisierte und verbürgte Konzession zu machen. Daß S. M. über dieses Schreiben und die Antwort des Reichskanzlers auf dasselbe mit dem Grafen Brandenbuig gar nicht gesprochen, zeige eine Art von Finasseric, welche wenig Vertrauen erwecke; die Leidenschaftlichkeit, mit welcher der König seine Ziele verfolge, und die auch aus den S. D. bekannten, sehr weitgehenden Privatkorrespondenzen S. M. über die Kongofrage heworleuchte, lasse den Herrn vergessen, daß seine persönlichen und dynastischen Interessen sich mit denen des Deutschen Reiches nicht vollständig decken. Die weitgehenden Jalons, die der König bis Zanzibar ausstrecke, die Unbestimmtheit der Zu- sicherungen, welche er gäbe, der gänzliche Mangel an Vollmacht des andern Teils, mit welchem wir zu verhandeln hätten, die carte blanche, welche wir für jede Ausdehnung des neuen Staates geben sollten, — dies alles verleihe der ganzen Transaktion für uns den Charakter eines gewagten und phantastischen Geschäfts, — das französische Vorkaufsrecht stelle seitens Mißlie biger in den Weg legte. Genau mit der gleichen Redensart: „Pourvu qu’il se conforme aux lois“ wurde jeder Kaufmann, der dem Staat oder den konzessionierten Gesellschaften unliebsame Konkurrenz machen konnte, nach den eigenhändig entworfenen Vorschriften des Kongosouveräns abgewiesen und am Landerwerb behindert. (Vgl. Artikel V in „Aus den Archiven des Belgischen Kolonialministeriums“ Bd. 1, S 97 bis 98.)