— 141 à l'autorite locale comptente, l'auto- rite consulaire restant chargée de re- presenter les intéréts de ses nationaux. Article VIII. A l'expiration du terme fixé par l'article 5, s'il n’existe aucune récla- mation, l’autorité consulaire, apres avoir acquitte, d’après les tarifs en vigueur dans le pays, tous les frais et comptes à la charge de la succes- sion, entrera définitivement en pos- session de la partie mobilière de la dite succession, qu'elle liquidera et transmettra aux ayants droit, sans avoir d’autre compte à rendre qu’a son propre gouvernement. Article IX. Dans toutes les questions auxquel- les pourront donner lieu l'ouverture, l'administration et la liquidation des successions des nationaux d'un des deux pays dans l'autre, les consuls généraux, consuls et vice-consuls respectifs représenteront de plein droit les héritiers et seront officiellement reconnus comme leurs fondés de pou- voirs, sans qu'ils soient tenus de justifier de leur mandat par un titre Spécial. · Ils  pourront,  en  consequence,  se präsenter,  soit  en  personne,  soit  par des  delegues  choisis  par  miles  per- sonnes qui y sont autorisées par la legislation du pays, par devant les autorités compétentes, pour y prendre, dans toute affaire se rapportant à la succession ouverte, les intéréts des héritiers, en poursuivant leurs droits ou en répondant aux demandes for- mées contre eux. II est, toutefois, bien entendu que les consuls-généraux, consuls et vice- consuls étant considerés comme fon- — — ständigen Lokalbehörde ausgeliefert wer- den, wobei es die Aufgabe der Konsular- behörde bleibt, die Interessen ihrer Landes- angehörigen wahrzunehmen. Artikel 8. Mit Ablauf der im Artikel 5 fest- gesetzten Frist gelangt die Konsularbehörde, wenn keine Forderung gegen den Nach- laß vorliegt, und nachdem alle dem Nach- lasse zur Last fallenden Kosten und Rech- nungen nach den im Lande gültigen Tarifen berichtigt worden sind, endgültig in den Besitz des beweglichen Theiles des Nachlasses, liquidirt denselben und führt ihn an die Berechtigten ab, ohne daß sie anderweit, als ihrer eigenen Re- gierung, Rechnung abzulegen hat. Artikel 9. In allen Fragen, zu denen die Er- öffnung, Verwaltung und Liquidation der Hinterlassenschaften von Angehörigen eines der beiden Länder in dem anderen Lande Anlaß geben können, vertreten die betreffenden Generalkonsuln, Konsuln und Vizekonsuln die Erben von Rechts- wegen und sind amtlich als die Bevoll- mächtigten derselben anzuerkennen, ohne daß sie verpflichtet wären, ihren Auftrag durch eine besondere Urkunde nachzu- weisen. Sie können demgemäß in Person oder durch Vertreter, welche sie aus den landesgesetzlich dazu befugten Personen erwählt haben, vor den zuständigen Be- hörden auftreten, um in jeder, die Nach- laßregulirung berührenden Angelegen- heit die Interessen der Erben wahrzu- nehmen, sei es, daß sie deren Rechte geltend machen oder sich auf die gegen dieselben erhobenen Ansprüche einlassen wollen. Selbstverständlich dürfen jedoch die Generalkonsuln, Konsuln und Vize- konsuln, da sie als Bevollmächtigte ihrer