—— douane et de la santé, lesquels con- tinueront d’étre appliqués en dehors du concours des autorités consulaires. Article XI. En tout ce qui concerne la police des ports, le chargement et le dé- chargement des navires et la sureté des marchandises, biens et effets, on observera les lois, ordonnances et reglements du pays. Les consuls et vice-consuls ou agents consulaires seront chargés ex- clusivement du maintien de l'ordre intérieur à bord des navires de leur nation, en conséquence, ils regleront eux-mémes les contestations de toute nature qui seraient survenues entre le capitaine, les officiers du navire et les matelots, et specialement celles relatives à la solde et à l'accomplis- sement des engagements réciproque- ment contractes. Les autorités locales ne pourront intervenir que lorsque les désordres survenus à bord des navires seraient de nature à troubler la tranquillité et l'ordre public, à terre ou dans le port, ou quand une personne du pays ou ne faisant pas partie de l'équipage s'y trouvera mélée. Dans tous les autres cas, les auto- rités précitées se borneront à préter tout appui aux consuls et vice-consuls ou agents consulaires, si elles en sont requises par eux, pour faire arréter et renvoyer à bord ou maintenir en état d'arrestation tout individu inscrit sur le role de I’équipage, chaque fois que les dits agents le jugeront néces- saire. Si l'arrestation devait étre main- tenue, les dits agents en donneront 153 Zoll- und Gesundheitswesen getroffen werden. Die hierauf bezüglichen Be- stimmungen kommen nach wie vor ohne Mitwirkung der Konsularbehörden zur Anwendung. Artikel 11. Hinsichtlich der Hafenpolizei, des Ladens und Ausladens der Schiffe, so- wie hinsichtlich der Sicherung von Waaren, Gütern und Effekten, kommen die Landesgesetze, Statuten und Regle- ments in Anwendung. Den Konsuln und Vizekonsuln oder Konsularagenten steht ausschließlich die Aufrechterhaltung der inneren Ordnung an Bord ihrer nationalen Schiffe zu. Sie haben dem- gemäß allein Streitigkeiten jeder Art zwischen Kapitän, Schiffsoffizieren und Matrosen zu schlichten, insbesondere Strei- tigkeiten, welche sich auf die Heuer und die Erfüllung gegenseitiger Verpflichtun- gen beziehen. Die Lokalbehörden dürfen nur dann einschreiten, wenn die am Bord der Schiffe vorkommenden Unordnungen der Art sind, daß die Ruhe oder öffentliche Ordnung am Lande oder im Hafen dadurch gestört wird, oder wenn ein Landesangehöriger oder eine nicht zur Schiffsmannschaft gehörige Person betheiligt ist. In allen anderen Fällen haben die gedachten Behörden sich darauf zu be- schränken, den Konsuln und Vizekonsuln oder Konsularagenten auf Verlangen Bei- stand zu gewähren, wenn diese Beamten es für nothwendig erachten sollten, daß eine in die Musterrolle eingetragene Per- son verhaftet und an Bord zurückgeführt, oder in der Haft behalten werde. Wenn die Verhaftung aufrecht erhalten werden soll, so haben die gedachten Beamten in möglichst kurzer Frist davon den zustän- 28