Anhang. 347
donné par une modération gendrale la tranquillité à I’Europe.
Fort des bontés, dont Elle m’'’a denné tant de preuves, Jose
reunir mes v##ux à Cceux de Phumunité souffrante; jöose espérer
avec confiance, qu’ils iront au cceur de V. M. et qu’Elle ny
verra due TPexpression des sontiments d’'un ullié, qui Lui est
bincèrement attaché et celle de la juste sollicitude due m’iin-
spire le salut de mes pouples.
D’accord des vues et des desirs due je vions d’exprimer
à V. M., a du me rapprocher de la Ccour de Vienne gulement.
lice aux intéröts de la cause commune par Talliaunce qui l'uni
à la France, et je ne crois plus devoir hésiter de me rendre
Faprès Pinvitation reiterée de Emporeur d’Autriche à Prague,
od je serai à meme de veiller de plus près au bien de mes
états momentanement envahis par Pennemi. — Ma détermination
est particulièrement motifice en ce moment par Turgente neé-
cessité de me rapprocher des frontières de la Sagye pour
empöcher due les esprits ne puissent etre Ggarcs.“
14.
Friedrich August an Napoleon, Linz 24. April 1813:
„V. N. m'a toujours trouvé Cgaloment empressé à entrer dans
Ses vues, et co D’est qu’nvec le plus sensible regret que je
me suis vu duns la necessité de Lui exposer dé/A à plusieurs
reprises les motifs qui me mettent dans Timpossibilité de
satisfaire à la demande du'Elle vient de me renouveller par
Sa lettre du 20ième de ce mois relativement à ma cCuvulerio.
Je me persuade encore, du’'Elle daignera rendre justice à tout
ce due j'’ai allégut à ce sujet dans mes lottres du 16ème et du
19ième et qu’Elle ne saurait refuser Son upprobation # la direc-
tion que jai crn devoir donner à mes troupes, dont la plus
Frande partie est pour le moment hors d’etat Tentrer en
Campagne et va acherer sa formation tandis qdue le seul
régiment des cuirussiers de la garde ne romplirait pas le but
duc V. M. se propose et qdue je me verrais privé avec ce
corps des moyens de remettre mu cavalerie sur le pied, ou
je désire qu’elle se retrouve bientöt. V. M. verra, jose m'’en