Auhaug. 319
Sire, et quo jo dovais avoir soin qu'elles arrivassont suroment
à PTEmpereur.“
1.
Friedrich August an Napoleon, Prag 3. Mai 1813: „V. M.
a annoncé dans Sa lettre du 20 Arril que m'’n apportée lo
colonel de Heinecken des doutes sur mes Sentiments pour Sa
personne, qui m’'ont profondement affligg. J%f0spéGrais, qus ma
lettre du 19iÖme d. c. qu’Elle avait reu depuis, en Lui develop
pant les principos et les moetils d’après lesduels Jui ern devoir
agir, La porterait a me rondre plus de justice et jai du etre
Tantant plus sensible à co due le Duc de Saxe-Weimar vient,
de me faire connnitre de Sa part. J’en uppelle encore à la
justice de V. M., du’Elle se rappelle le contenu de ma lettre
du 19 Avril. Ellc y trouvern TPexplication de toute ma con-
duite uniquement dirigé par le premier de moes deveirs. colui
de veiller au salut de mes peuples duo Dien m'a confé6: Ma
maurche a tonjours été franche et je u'ai rion ou de cache
pour V. M. Tamais jo wWoublierni co due je Lui dois de
reconnaissance et mes sentimens y repondraont tujours ainsi
due le dévouemont inriolahle avec loquel je suis à jamais etc.“
17.
Friedrich August an Napolcon, Prag 8. Mai 1813: „V. M.
accontumße à vaincre, vient de surpasser taous les exemples
Drécédents par la rapidité de Ses derniers succes. Qu’'Elle
reçgeive avoc son ancienne bonté mes plus vives félicitations
provonant d’'un cceur plein d’attachemont pour Elle. Lorsduo
le Ministre do V. M. m’'a remis hiers Sa lettre du 14 ayvril.
les spérances, qu’Elle m'y annonçait, se trouvaient de
réulisces. Je no tarderni pas un moment, des due les chemins
seront libres, de me rendre à Drosde et d'aller trouver V. M.
ainsi au'Ello mien denne lu permission; heureux, qu'Elle venillo
me recevoir avec cette amitié et cetto bienveillance, qui font
ma gloire et toute ma satisfaction. J’invoquc avec un entier
abandon cotto mõmo amitié indulgente pour déterminer Topinion