.—
des frais, aux autorités Ccompétentes
de la partie requérante.
Article 17.
Acompter du jour de PTarrestation
d un criminel qui est poursuivi, il sera
Payé duinze gros de Pologne Par jour
pour son entretien, et vingt-deux er
un demi gros de Pologne par jour
Pour frais de détention.
Article 18.
Ni les déserteurs, ni les individus
sujels au service militaire, ni les cri-
minels ne pourront, de la part du
Souverain qui les réclame, tre pour-
zuivis dans le pays de PFautre Souve-
rain, soit par quelque acte de violence
ou d'autorité propre, soit clandestine-
ment. Il est en conséquence défendu
qu'un détachement militaire ou civil,
quel qu'il soit, ou quelque émissaire
secret, passe dans ce but la frontière
des deux Etats.
Side la part de la puissance récla-
mante la poursuite d’unou de plusieurs
déserteurs, Tindividus sujets au ser-
vice militaire, ou de criminels qui se
s#ont sauvés, à é46 ordonnée au moyen
d’un détachement militaire ou civil, ou
de toute autre manieère, cette pour-
suite ne devra Fétendre que jusqu'a la
frontière qui sépare les deux Etats.
Ciest à ce point du’il faut que le dé-
tachement Farréte et un seul homme
Passera la frontière. Celui-ci sab-
stiendra de tout acte de violence ou
Tautorité Privée er Fadressera à Pau-
98
deckung bis an die Grenze gebracht und
den betreffenden Behörden des requiriren-
den Gouvernements gegen Erstaltung der
Kosten ausgeliefert wird.
Artikel 17.
Von dem Tage der Verhaftung eines
verfolgten Verbrechers an, werden für
dessen Unterhalt täglich funfzehn Groschen
Polnisch und an Aufbewahrungskosten
zwei und zwanzig und einen halben Gro-
schen Polnisch täglich bezahlt.
Artikel 18.
Weder Deserteure, noch Milikaipflich-
tige, noch Verbrecher, können von Seiten
des reklamirenden Souverains auf gewalr-
same, eigenmächtige oder heimliche Weise
in den Staaten des andern Souverains
verfolgt werden. Es ist daher untersagt,
daß zu diesem Zwecke irgend ein Militair=
oder Civilkommando, oder geheimer Ab-
geordneter die Grenze beider Staaten
überschreite. Ist von Seiten der rekla-
mirenden Macht die Verfolgung eines
oder mehrerer Deserteure, oder Militair
pflichtiger, oder geflüchteter Verbrecher
mittelst eines Militair= oder Civilkom=
mando's, oder auf andere Art verfügt
worden, so darf sich diese Verfolgung
nicht weiter als bis zur Grenze, welche
beide Staaten von einander trennt, erstrek-
ken. Hier muß das Kommando Halt
machen, und nur ein Mann darf die
Grenze überschreiten. Dieser muß sich,
bei Enthaltung jeder Ausübung von Ge-
walt oder Eigenmacht, unter Vorzeigung
des Requisitions = Schreibens seiner Vor-
gesetzten, an die kompetente Militair-oder
Civilbehörde wenden und auf die Auslie-