veraines et des ponts et passages, on
s'en tiendra aux observances actuelles,
aussi bien que pour la libre naviga-
tion de la Sarre, en tant qu'elle
Pourra étre Praticable dans son cours,
depuis Sarreguemines jusqu'd Gui-
dingen.
Anr. 4. II est entendu que sur
toutes les parties de frontière on des
chemins servent à indiquer la limite,
Ces chemins, ou toutes celles de leurs
Parties qui suivront cette frontière,
seront mitoyens, Gest-á-dire, com-
muns aux deux Etats, sans que, pour
cela, il soit attenté en rien aux droits
de propriété des particuliers, 4 qui
ces chemins pourraient appartenir.
Aucun des deux Etats ne pourra
exercer sur ces chemins ou portions
de chemins d’acte de souveraineté,
si ce w'est Ceux nécessaires pour pré-
venir ou arréter les délits ou crimes
qui nuiraient à la liberté et à la sü-
reté du Passage.
En tant due propriété foncieère,
ces chemins on portions de chemins
Seront soumis, pour ce qui concerne
les impôöts, d I’Etat sur lequel réside
le propritaire.
Anr. 5. A ’avenir et dans Din-
térét des deux Etats, aucun écifice,
batiment ou habitation qduelconque
ne pourra ötre élevé le long de la
frontière, qu’autant due ces con-
structions seront établies à dix meé-
tres ou trente Pieds de Prusse, de la
ligne qui forme la limite.
Toutelois, lorsquun chemin ou
ruisseau formera la limite, cette di-
stance sera réduite à cinq métres ou
duinze Pieds de Prusse, d partir du
bord le plus voisin.
Anr. 6. Si, par l’effet des ces-
sions réciproques contenues dans la
Jahrgang 1830. — (No. 1236.)
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Uferbauten und der Brücken und Fähren,
wird man sich an die gegenwärtige Obser-
vanz halten, eben so wie rücksichtlich der
freien Schifffahrt auf der Saar, so weit
diese in ihrem Laufe von Saargemünd bis
Güdingen schiffbar seyn sollte.
Art. 4. Man ist übereingekommen,
daß auf allen Gränzeheilen, wo die
Gränze durch Wege bczeichnet wird, diese
Wege oder alle Theile davon, welche
längs der Gränze hinziehen, zwischen bei-
den Staaten gemeinschaftlich seyn sollen,
ohne daß jedoch dadurch die Eigenthums-
rechte der Privaten, denen diese Wege
etwa gehbren könnten, auf irgend eine
Weise beeinträchtigt werden.
Keiner der beiden Staaten darf auf
diesen Wegen oder Wegetheilen Souve-
rainctatsrechte ausüben, mit Ausnahme
derjenigen, welche zur Verhütung der
Vergeben oder Verbrechen erforderlich
scheinen möchten, die der Freiheit und der
Sicherheit des Durchganges schädlich wer-
den könnten.
Als Grundeigenthum betrachtet, wer-
den diese Wege oder Wegetheile rücksicht-
lich der Besteuerung demjenigen Staate
unterworfen, in welchem der Eigenthümer
wohnet.
Art. 5. Künftighin soll, im Interesse
beider Staaten, kein Gebäude und keine
Wohnung irgend einer Art längs der
Gränze in einer geringern Entfernung
aufgebauet werden, als zehn Meter oder
dreitig Preutzische Fuß von der Gränz-
Linie.
Wo jedoch ein We oder Bach die
Graͤnze bildet, da soll biese Entfernung
auf fuͤnf Meter oder funfzehn Preußische
Fuß von dem nächsien Ufer an gerechnet,
eschränkt werden.
Art. 6. Wenn durch die wechselsei-
tigen, in der gegenwärtigen Uebereinkunft
G