fait aucune opération de com-
merce.
En cas de reläche foreée, ne
seront pas considérés comme opé-
rations de commerce, le débarque-
ment et le rechargement des mar-
chandises pour la rféparation du
navire, le transbordement sur un
autre navire en cas Tinnavigabilité
du premier, les dépenses nécessaires
au ravitaillement des équipages et
la vente des marchandises awariées,
lorsque Tadministration des douanes
en aura donné Tautorisation.
ARTICLE XXI.
En cas d'échouement ou de nau-
frage d'un navire le lune des Hautes
Parties contractantes sur les coòôtes
de Lautre ce navire y jouira, tant
Pour le bätiment qdue pour la car-
gaison, des faveurs et immunites
due la Iégislation de chacun des
Pays respectifs accorde à ses propres
navires en pareille circonstance. H
sera prété toute aide et assistance
au capitaine et à T’equipage, tant
Pour leurs personnes qdue pour le
navire et sa cargaison. Les opérations
relatives au sauvetage auront lieu
conformément aux lois du pays.
Toutefois les consuls ou agents con-
sulaires respectifs seront admis à
Surveiller les opérations relatives à
Ia réparation ou au ravitaillement,
Ou à la vente, Fil y a lieu des
navires éGEchoués ou naufragés à la
cöte. Tout ce qui aura été sauvé
du navire et de la cargaison, ou le
Pproduit de ces objets, Sils ont été
vendus, sera restitué aux proprictaires
Ou à leurs ayants-ckause, et il ne
sera payé de frais de sauvetage plus
212
welche Handelsoperation vorgenom-
men zu haben.
Im Falle des durch Noth veranlaß-
ten Einlaufens soll das Löschen und
Wiedereinladen der Waaren behufs Aus-
besserung des Schiffes, die Ueberladung
auf ein anderes Schiff im Falle der
Unbrauchbarkeit des ersten, die zur Wie-
derverproviantirung der Schiffsmann-
schaft nothwendigen Aufwendungen und
der Verkauf der beschädigten Waaren,
wenn die Zollverwaltung hierzu die Ge-
nehmigung ertheilt hat, als Handels-
operationen nicht angesehen werden.
Artikel XXl.
Im Falle des Strandens oder des
Schiffbruchs eines Schiffes eines der
Hohen vertragschließenden Theile an den
Küsten des anderen Theils sollen Schiff
und Ladung dieselben Begünstigungen
und Befreiungen genießen, welche die
Gesetzgebung jedes der betreffenden Staa-
ten den eigenen Schiffen in gleicher Lage
bewilligt. Es soll jederlei Hülfe und
Beistand dem Führer und der Mann-
schaft sowohl für ihre Person, wie für
das Schiff und dessen Ladung geleistet
werden.
Die auf die Rettung bezüglichen Maß-
regeln sollen den Landesgesetzen gemäß
getroffen werden. Es soll jedoch den
betreffenden Konsuln oder Konsularagen-
ten gestattet sein, im Falle Schiffe, welche
an der Küste gestrandet sind oder Schiff-
bruch gelitten haben, ausgebessert oder
neu verproviantirt oder verkauft werden,
die hierauf bezüglichen Geschäfte zu über-
wachen. Alles, was von dem Schiffe
und dessen Ladung gerettet worden ist,
oder im Falle des Verkaufs der für diese
Gegenstände erzielte Erlös soll den Eigen-
thümern oder deren Vertretern zurück-