in Bezug auf die Allianz mit Frankreich 1741. 575
engagements. Vous verrez par ma conduite due je ne démentirai jamais
les sentiments que je fais paraltre, de meme due Pestime et Tamitic
pPersonnelle avec laquelle je suis votre trös-bon et tres-affectionné cousin
et fidele ami
Frédéric.
Valori à Amelot. 7 Férr.
Valori est trös mécontent due le roi ne répond pas au projet de
traite Communiqué le 31, par écrit, mais seulement par unc explication
de Podewils on il réepète du’'il fot stipulé quel secours le roi donnerait.
à PElecteur de Bavière pour le mettre en état de soutenir ses préten-
tions, amil ne pouvait engager sa voix à ce prince et Pöter par Ià la
dernière ressource pour un accommodement, suns etre instruit des moyens
dusil aurait pour le soutenir qu’il avait à craindre (lui roi de Prussc)
due I’El. de Bavière lui devint un allié à charge; qu'on lui avait dé)a.
fait demander de la part de ceite cour, duels GCtaient les secours en force
et en argent du’il en pourrait espérer.
Vulori. 14 Férr.
II se plaint qu'on ne lui fait pas un contreprojet. Vous avez rai-
son, dit le roi de Prusse, c'iest par omission que je ne l'ai pas fait.
NMandez-le, je vous prie, à votre cour; je crois qdu’i pourrait ne pas con-
venir au roi de stipuler un secours de 12 „ h. pour soutenir mes pré-
tentions sur la Silésie et la garantie que j'espère, mais 1l peut Etre com-
posè des troupes de I’Electcur de Cologne ect I’Electeur Palatin, les-
duelles étant assemblées dans ce nombre sont en éEtat de tenir en échec
celles d’'lanovre et à operer une diversion en ma faveur. Mandez cela,
je vous prie. D'ailleurs ül est tres-important qdue le roi mette I’Electeur
de Bavièrc en situation d'’appuyer ses droits et ces deux cas arrivant
comptez qdue tout ira bien. — Ce prince me parla ensuite avec beaucoup
de conffance de ses opérations militaires faites et à faire. II me dit
due son projet était de conserver la Basse-Silésie, Breslau compris; que
le pays en dech de la Neisse était ce qui lui convenait et à quoi il se
bornerait si on ne le forcait pas d'aller plus loin, du’il sentait combien
la réputation de conquérant lui donnerait d'’ennemis, mais duc si la 8i-
lesie était réduite au point de ne pas faire vivre ses tronpes par les
nombres qu' envoyerait la reine de Hlongrie, il no rétrograderait pas
Pour faire subsister son armée; du'il fallait en user avec prudence ef
Mne pas faire envisager à l’Allemagne des desseins trop vastes.
Valori lui dit du’'il faut avoir de ln confiance dans le roi ct le Cl.
Le roi réplique qu’chle était entière, mais auc je ne pouvais pas le blä-
mer de vouloir voir clair dans la con##oncture on il se trouvait. — I1
Parla de la puissance des Russes avec de Pexagération.
Torring dit au'i! y aura en Bavière 20 m hommes prets au prin-
temps; s’il y a de qduoi les payer et les röcruter, due les maurvaises
années consccutires et le dépérissement quasi total du corps de troupes