172 XVI. Der Berliner Congreß.
solide de notre ancienne amitié; due ce rameau nouveau
prospère — je ne dis pas #nonc, mais seulement qdu’il wWab-
sorbe pas à son profit la sève de Tarbre.
Je pense enfin due le but principal de notre accord à
deux doit consister:
En ce due la Russie ne permette ni ne souffre jamais
la coalition Contre FAllemagne, lorsque celle-ci serait engagée
à TPoccident, ct due Allemagne nous rende I’équivalent en Orient.
Si IEurope était convaincue de ce sait, bien des compli-
Cations de Favenir seraient CGvitées!
C'est, mon cher Prince, parceque ce sont là mes con-
victions primordiales, que je n'ai cessé de déplorer le peu de
Consistance, qufa montré Fentente des trois cours dans la crise
actuelle. Notre accord ne s'est maniflesté ni en réalité ni
meme en apparence.
Si P’Angleterre y avait cru, elle aurait suivi une politique
plus ferme vis à vis de la Turquie.
Si la Porte en avait été convaincue, elle M’'aurait point
Persisté dans son obstination et sa résistance.
Enfin, si les trois Empires dui forment cet accord, u'’en
eussent pas douté maintes fois eux mémes, „every thing would
have been seitled a long time agoc.
Excusez-moi, mon cher Prince, pour cette petite profession
de foi, dont vous n'avez nullement besoin. Qucique vous ne
soyez pas un prétre Ccatholique, jéprou##e néanmoins la
nécessité de vous faire ma confession.
Veuillez agréer, mon cher Prince, Phommage sinceère de
mon respectuenk dévouement. Schouvalof.
Die Antwort Bismarcks konnte in den „Gedanken und
Erinnerungen“ nur nach dem in Friedrichsruh liegenden Ent-
wurfe gegeben werden; nach der Reinschrift wurde vergebens
Umfrage gehalten. Erst vor kurzem theilte mir Herr Consistorial=
rath Dalton in Berlin mit, daß Graf Peter Schuwalow ihm
seinerzeit den eigenhändigen Brief Bismarcks geschenkt habe,
und hatte die Liebenswürdigkeit, mir eine Abschrift zu gestatten.
Die abschließende Fassung, die der Brief erhalten hat, weicht