25.
viennent que les marins et autres indi-
vidus de I’équipage, sujets du Pays dans
lequel seffectuera la désertion, sont ex-
ceptés des stipulations du présent article.
Article 17.
A moeins de
entre les armateurs, chargeurs et assu-
reurs, les avaries due les navires des
deux Pays auront souffertes en mer, scit
du’ils entrent dans les ports respectifs
volontairement ou par reläche forcée.
seront toujours réglées par les consuls-
généraux, consuls et vice-Consuls de leur
nation; à moins due des sujets du pays
dans lequel résident lesdits agents, ou
ceux d'une tierce Puissance ne se trou-
vent intéressés dans ces avaries, Car.
dans ce cas, il appartiendra à Pautcrité
locale Ccompétente d'’en prendre connais-
sance et de les régler, sil ny ja pas
entente et conciliation entre tous les
intéressés.
stipulations Ccontraires
Article 18.
Lorsqu'un navire appartenant au Gou-
vernement ou à des sujets de PTune des
Hautes Parties contractautes fera nau-
frage ou échouera sur le littoral de
Tautre, les antorités locales devront
porter le fait à la Connaissance du consul-
général, consul, vice-Cconsul ou agent
consulaire de la circonscription et, à son
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rüber einverstanden, daß Seeleute und andere
Personen der Mannschaft, welche Unterthanen
des Landes sind, in welchem die Desertion
stattfindet, von den Bestimmungen dieses Ver-
trages ausgenommen sind.
Artikel 17.
Falls nicht Verabredungen zwischen Rhedern,
Befrachtern und Versicherern entgegenstehen,
werden die während der Fahrt der Schiffe
beider Theile erlit tenen Havereien, sei es, daß
die Schiffe in die betreffenden Häfen freiwillig
oder als Nothhafen einlausen, von den General-
konsuln, Konsuln oder Vizekonsuln der be-
treffenden Nation regulirt. Sollten jedoch
Landes-Unterthanen oder Unterthanen einer
dritten Macht betheiligt sein, so müssen, ebenso
wie in Eimangelung einer gütlichen Einigung
zwischen allen Betheiligten, die Havereien von
den Ortsbehörden regulirt werden.
Artikel 18.
Wenn ein Regierungsschiff oder ein Schiff
eines Angehörigen eines der Hohen kontrahiren-
den Theile an den Küsten des andern Theils
Schiffbruch leidet oder strandet, so sollen die
Behörden den Generalkonsul, Konsul, Vize-
konsul oder Konsularagenten des Bezirks, oder,
wenn ein solcher nicht vorhanden ist, den dem
Orte des Unfalls nächsten Generalkonsul, Konsul,