Piastres et ensin les monnaies étrangéres
au taux du Zarb-khane (Hoôtel des Mon-
naies) d'aprés cette base.
Les négocians ayant à Constantinople
la faculté de donner à leur gré du caimé
au plus haut Ccours de la Bourse au lieu
et place du medjidie d'’or à raison de
cent Piastres, on se procurera chaqdue
jour à cet effet le bulletin de la Bourse
de la veille indiquant combien il faut de
piastres calmés pour former un medsidié
d’or. Ce bulletin sera alliché publique-
ment en douane et le caimé sera accepté
en calculant combien il faut de piastres
caimés pour représenter un medsidie d’or
au plus haut Cours indiqué daus le bul-
lelin précité.
Le paiement en caimé, compté sur la
base du medjidieé d'’or à 100 P. au lieu
et place de monnaie de bon aloi est
actuellement réservé et restreint à la
Capitale. Si, plus tard, le caimé est mis
en circulation dans les provinces, il sera:
Ggalement regu dans les douanes des
dites provinces de la fapon indiqu6ße plus
haut pour les douanes de Constantinohle,
C'est-a-dire en calculant combien l faut
de Piastres caimés pour représenter un
jurluk, medsjidié d'or à cent Piastres.
Touiefois, comme on ne peut, des-i-
présent, ciest-à-dire avant l'évènement
établir de base sur I’incomu duant au
mode de ce paiement, la duestion du
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dert Piastern, — und endlich die fremden
Geldsorten nach der Tare der Kaiserl. Münze
(Zarb-hané) und der vorstebenden Berech-
nung.
Da es den Kaufleuten in Constantinopel
freisteht, nach ihrem Belieben, statt des Med-
schidic in Gold zu hundert Pastern, Papier-
geld (Caimés) zum böchsten Börsencourse
zu zahlen, so soll zu diesem Behufe täglich
der Börsenzettel vom vorhergegangenen Tage,
aus welchem das Verhältniß des Papier=
geldes (Caimés) zum Medschidie in Gold
ersichtlich ist, angeschafft und auf dem Zoll-
amte öffentlich angeschlagen werden. Das
Papiergelo (Caimés) wird dann nach dem
höchsten in diesem Börsenzettel vermerkten
Course statt des Medschidié in Gold ange-
nommen.
Die Bezahlung des Papiergelves (Caime)
statt baaren Geldes von guter Währung —.
den Medschivié Gold zu hundert Piastern
gerechnet — ist gegenwärtig nur auf die
Hauptstadt beschränkt.
Wenn später das Papiergeld (Caimé) auch
in den Provinzen in Umlauf gesetzt seyn
wird, so soll es bei den dortigen Zolläm-
tern ebenfalls in ver oben für Constantinopel
angegebenen Weise angenommen werden,
d. b. unter Berechnung des Coursverhält-
nisses des Piasters Papier zum Medschivic
Gold (Anzlük) von hundert Piastern. Da
man aber jetzt schon, da dieser Fall noch
nicht eingetreten ist, auf Ungewisses bin,
eine Basis für diesen Zahlungsmodus noch