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Herzog jedoch keinen Augenblick an, Soldaten und Of—
fizieren bei ihrem Monarchen die belohnendste Gerechtig-
keit und Anerkennung wiederfahren zu lassen.“)
)
Pées par le Tirol. J'ai cependant eu de ses nouvelles
par Fuessen en date du 10, mais la fermentation com-
mangait du coté de Pludenz. Ila été prevenü de ce
qui se passait de mon coté par le général Drouet.—
Je ne parle pas à votre Majesté des villages brulés,
et des exemples de serveritc, dqui ont eté faits sur la
route de Brixen, et à la suite de l’affaire de Landeck,
non plus que de 8000 fusils dqui ont éte brisés et
jéttés dans I’Inn, en outre de ce dui a été envoyé à
Kufstein. — Je regrette infiniment qdue le comte d'Arco
ait öté victime de sa bravoure; Cc'est une perte reéele
duc votre Majasteé à faite. Je ne veux point ici faire
son éloge; Elle connaissait son zéle et son dévoue-
ment sans bornes. QOuoi due cet Officier n’'ait servi
due peu de tems avec moi, je I’avais distingué, et je
me proposais "& utiliser ses talents, s'il n’'était mort
glorieusement à la tete de sos troupes. Le général
Montmari avec qui il étoit, lorsqu'il fut atteint du
coup mortel, partage mes régrets
Je suis etc.
signe: le maréchal Duc de Danzig.
Salzbourg le 2. septembre 1800.
Sire!
J’ai Phonneur d’annoncer à vötre Majésté que je
suis de retour ici de Vienne, ou j’'étois allèé annoncer
à mon Souverain, non une defaite, mais un mouve-
ment retrograde, qdue j'’ai execute avec vos troupes;
cette retraite est du nombre de celles dui font plus
d’honneur au chef, et aux soldats qui l’executent, due
de ces victoires on il n’'y à qdu' à courir en avant. —
Oui, Sire, c’est une de Ces retraites dont Il’histoire.
Parle tant, dgue vient de faire votre Armée. Le rap-