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cord avec le Commissaire spécial que
Sa Majesté Chérifienne voudra bien
désigner à cet ettet.
Art. 64.
La Conférence prend acte des pro-
Positions formulées par les Délégués
chérifiens au sujet de la création
de taxes sur certains commerces,
industries et professions.
Si, à la suite de Tapplication de ces
taxes aux sujets marocains, le Corps
Diplomatique à Tanger estimait dwiil
y a lieu de les étendre aux res-
Sortissants étrangers, il est, des à
présent spéecifiéc dque les dites taxes
Seront exclusivement municipales.
Art. 65.
La Conférence se rallic à la pro-
position faite par la Dôélégation
marocaine d’établir avec H’assistance
du Corps Diplomatique:
a) un droit de timbre sur les
Contrats et actes authentiques
Passés devant les adoul;
b) un droit de mutation, au
maximum de deux pour cent,
sur les ventes immobilieres;
c) un droit de statistique et de
pesage, au maximum de un
Pour cent ad valorem, sur
les marchandises transportées
Par cabotage;
d) un droit de passeport à perce-
Voir sur les sujets marocains;
e) eventuellement, des droits de
quais et de phares dont le
produit devra étre affecte à
Damelioration des ports.
den Seine Scherifische Majestät zu be-
stimmen geruhen wird, eine billige Lö-
sung dieser beiden Fragen zu finden.
Artikel 64.
Die Konferenz nimmt von den Vor-
schlägen der scherifischen Vertreter über
die Einführung von Abgaben auf be-
stimmte Handelszweige, Industrien und
Gewerbe Kenntnis.
Wenn nach Anwendung dieser Ab-
gaben auf marokkanische Untertanen das
diplomatische Korps es für zweckmäßig
erachtet, sie auch auf die fremden An-
gehörigen auszudehnen, so wird schon
jetzt erklärt, daß die erwähnten Abgaben
nur städtische Abgaben sein dürfen.
Artikel 65.
Die Konferenz schließt sich dem Vor-
schlage der marokkanischen Vertreter an,
unter Beistand des diplomatischen Korps
noch folgende Abgaben einzuführen:
a) eine Stempelsteuer auf die Ver-
träge und Originalakte, die vor
den Aduls errichtet werden;
b) eine Besitzveränderungsabgabe
von höchstens zwei vom Hundert
auf die Grundstücksverkäufe;
c) eine statistische und Wiegeabgabe
von höchstens ein vom Hundert
ad valorem für die auf dem
Wege der Küstenschiffahrt be-
förderten Waren;
d) eine von den marokkanischen
Untertanen zu erhebende Paß-
steuer;
e) gegebenenfalls Duai- und Leucht-
turmabgaben, deren Ertrag zur
Verbesserung der Häfen ver-
wendet werden muß.