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stitution en titres au porteur qui a 6té6 kaite
à la suite de la demande contenue dans votre
lettre du 24. 3. 1907 n’'était qu'une simple for-
malilé légale, ci n’'a rien changé aux disposi-
tions prises, lors de D’octroi de l’allocation.“
Der erste Brief sagte: Le gouvernement a
decidé de vous alluer une somme de 20 000 fes..
die Worte capital nominal kommen dort nicht
vor, man spricht von einer Summe von 20 000 Fr.
Es besteht da ein feiner Unterschied, ein Unter-
schied von 2000 Fr. zum Nutzen des Staates,
gegen den man machtlos ist.
Ein Artikel vom 21. Juli führt unter der
berschrift: „Le Congo humanitsire“ folgendes
aus:
„L'Arabe prenait les noirs pour les vendre
des particuliers. — Les agents de I'Etat
brirent les noirs pour les vendre à l’Etat. On
bouvait différer d’avis sur la question de sa-
voir S'il n’aurait pas convenu de eiviliser le
Congo en faisant du nögre un agricultcur plu-
lüt qu'un soldat, a'il W’était pas préférable de
lui donner des instruments de culture plutöt
due des fusils et des cartouches. II ne s'agit
blus ici de différend
Officiers belges, éIevés par la patrie dans
beulte frénstique de Phonneur personnel, pour
Fbonneur du drapeau et de la patrie, vous
Alez au Congo enthousiastes, décidés à vous
Sacrifier pour la grandeur du pays, et pour
duelles basses besognes tuait-on votre idéal. II
Tous fallait acheter des hommes et plus vous
en acheticz et plus vos récompenses monitaires
montaient, et moins cher vous les payiez et
#ius vos ristornes grossissaient. Et vous
d#ez venus de votre petit pays lontain et gé-
néreux pour abolir le trafic de chair humaine,
bour faire la guerre aux Arabes marchands
de negres. Et sans vous en douter, pour le
(rapeau, pour la patrie, pour le souverain, on
Wous mettait plus bas du'’eux, car vous n’avicz
boint, comme cux, l’excuse de n’eétre point civi-
Hes, ehrétiens et honorables. Dans ce téné-
weur oflic, due de fois les „libéerés“ ne kurent
boint achétés du tout, due de fois les chefs ne
le ecderent- ils pas mẽme au rabais, le Boula-
Hatri emportant les hommes apres avoir fait
Isparaitre celui à qui ll devait les payer.
be vie de chef nögre à qdui ’on doit payer
melque chose, compie pour peu, celn 8e
#angoit.“
.Ein Artikel vom 14. August beleuchtet die
Swierigkeiten, die es macht, über die Verhält-
ase am Kongo Licht zu verbreiten. Er spreche
zu Namen derjenigen, die sich nicht äußern
195 20
können.") Der belgische Staat hätte eine Kom-
mission einsetzen sollen, der das Recht hätte zu-
stehen müssen, alle Kongobeamte unter Eid zu
vernehmen und klare Fragen zu stellen. Es gebe
zwei Kategorien von Beamten: Die, welche sagen,
was sie können und diejenigen, welche aussagen,
was sie wollen. Die ersteren können sehr ehren-
werte Menschen sein, aber unfähig, die Wirklich-
keit zu erfassen und sie zum Ausdruck zu bringen.
Die zweite Kategorie umfaßt diejenigen, die
sehen, aber schweigen; die einen aus Furcht, die
anderen aus Interesse. „Comment pouvoir par-
ler, duand on dépend, pour vivre, de ceux qui
vous emploient? Comment parler, quand, offi-
cier belge, ayant quitte IEtat et ne pouvant
plus s'accommoder de la vie militaire, ou
aduitté H’uniforme pour entrer dans l’'admini-
stration de quelquc sociéte à monopole con-
golaise? Ah, si le Souverain du Congo Dbouvait
faire parler devant lui comme on parle der-
rière lui .. a-t-on pas déja dit due ce
serait faire preuve de grande ingratitude due
d’interroger sur le passé congolais. Etrange
conception de la dignité, vraiment! Et ceux
qui osent de telles affirmations n’'ont-ils pas
encore senti du’ils prononçaient par la-meme
des condamnations en bloc, qufaucune con-
science simplement droite M'acceptera?“ Le-
maire weist ferner darauf hin, daß zahlreiche
Münder mit Pfründen geschlossen und daß gar
manche zu einer vorteilhaften Verständigung mit
dem Kongostaat gelangt sind.
Die Scheinreformen kritisiert ein Artikel vom
29. August wie folgt: ·
„Lorsque le rẽgime de l'exploitation aveugle
eut provoquẽ une levẽe de boucliers en Angle-
terre et surtout en Belgique, il fallait organiser
plus judicieusement le commeree du caout-
*) In bezug auf die großen Schwierigkeiten, vor
dem Erscheinen des Berichtes der Untersuchungs-
kommission (1905) die Wahrheit zu sagen, bemerkt
Prof. Cattier im Vorwort zur ersten Auflage seiner
.„Etude sur la situation de I’IEtat Indépendant du
Congo“: —* ca#t allégué, il x a un an, la
dixidme partie des faits aujourdhui definitirement
Etablis. sc füt exposé à des poulsuites. II cüt 61
dans l’impossibilité matérichle de prouver ses accu-
sations. Sa conscience leüt, sans doutec, ubsous et.
appronvé. Ses juges l’'aurnient condamné.
In seinem Werk: a Cucstion Congolaisc.
Brugelles 1006 hat A. Vermeersch, S. J. sehr aus-
führlich (S. 278.—290) die Gründe darzulegen versucht,
die die katholischen Missionsgesellschaften am Kongo
bewogen haben, über die Mißstände im Kongostaat
vor der Offentlichleit zu schweigen und den von
Cattier gegen sie erhobenen Vorwurf (S. 282): #a
Postérité diru duc jamais llEglisc entholiquc ne trahit
plus ourertemem Ila mission du’clle sc donne ct ln
morale de son kondateur“ als unbegründet zurück-
zuweisen.