Full text: Deutsches Kolonialblatt. XXVIII. Jahrgang, 1917. (28)

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M. Carton de Viart, Ende 1906, Artikel zu 
schreiben. Daß er solche verfaßt hat, beweist eine 
Zuschrift von ihm an den Sekretär der „Fédéra-- 
tion pour la Défence des Intersts Belges à 
IEtranger“ in Brüssel, die lautet: 
Confidentiel. Oct. 29. 1907. 
Dear Sir. I now beg to apply for a Fee. 
Vours faithfully 
W. W. Jones M. D. 
Am 22. Juli 1904 schreibt der Generalsekretär 
Liebrechts an Rolin: 
„J’écrirai encore à M. Weinthal, Pro- 
pbriétaire de Pp African Worldd DTadresser ses 
communications concernant la presse à 
N. Rolin. C'est M. Léon Donnay, 41 rue Naples 
à Bruxelles, qui est le correspondant à Bruxgel- 
les. Celui-ei soumet toutes les semaines ses 
artickhes à mon appreéciation, avec faculté de 
retrancher et d’ajouter ce qui est jugé né- 
cessaire. J’espère due M. Rolin voudra bien 
se charger de cette formalité. J’en avertis 
M. Donnay . . .“ 
In Italien vermittelte der Senator Roux 
die dem Kongostaat erwünschten Veröffent- 
lichungen in der „Tribuna“, deren Direktor er 
war. Für die übrige italienische Presse waren 
die M. Astuto, Capitaine de Vaisseau in Rom 
und M. Elia, Generalkonsul des Kongostaates 
in Genua nach der gleichen Aufzeichnung Lieb- 
rechts die Quellen: „qui nous renseigent sur les 
artiches qui paraissent et sur les réponses 
(ventuelles à faire. IIs agiront pour les répon- 
des d’office, quand il 7 a lieu, et en regle 
gẽnérale, après avoir demandé les Gléments 
des réponses à Bruxzelles. Ces Messijeurs sont 
inkormés qduc c'est M. Rolin qui recevra leurs 
communications par rapport à la presse, et 
duc c'est encore M. Rolin qui correspondera 
dircctement avec eux.“ 
Als diese Verhältnisse im Herbst 1908 im italie- 
nischen Parlament und in der Presse enthüllt 
und zur Sprache gebracht worden waren, wurde 
der unmöglich gewordene M. Elia durch den 
Baron Nisco ersetzt. 
In den Vereinigten Staaten wirkten außer 
dem bereits genannten Colonel Kowalsky, 
den der König an Bord seiner Yacht „Alberta“ 
elupfing und den er mit seinem Bild beschenkte, 
und dem obenfalls bereits erwähnten Schrift- 
stller H. W. Wack, der Generalkonsul des 
Kongostaates in Baltimore Whiteley, alle in- 
bessen stets unter der Anleitung und Oberaussicht 
bes belgischen Gesandten in Walshington, des 
Varon Moncheur. Anscheinend sind die 
Dienste des M. Whiteley dem Kongostaat recht 
  
teuer zu stehen gekommen. Denn als nach dem 
übergang des Staates an Belgien der neue Kolo- 
nialminister vor die Frage gestellt war, ob und 
welche der im vorstehenden erwähnten verschie- 
denen Generalkonsuln des ehemaligen Kongo- 
staates weiter verwendet werden sollten und ob 
sie eventuell unter der Firma von Handelsagenten 
unter die Beamten der Kolonialverwaltung auf- 
zunehmen seien, entschied sich der Minister Renkin 
nach einigem Zögern auf die dringenden Vor- 
stellungen einiger seiner Räte dahin, reinen Tisch 
zu machen und jedenfalls auf die durch die Ver- 
öffentlichungen des „Patriote“ etwas anrüchig ge- 
wordenen Kräfte endgültig zu verzichten. 
Folgendes bezeichnende Gutachten wurde da- 
mals dem Minister vorgelegt: „M. Whiteley est 
un homme actif—qufaucun incident spécial n’'a 
jusqu'’ici rompromis, — mais dont les exigences 
furent telles, par leur exagération et leur 
insistance, qu'felles permettent de douter au 
moins de sa délicatesse. 
M. Whiteley est entré en rapport avee 
Etat du Congo en 1903. Pendant un an il 
conduisit la défense du Congo, sans aucune 
idé e du lucre. En 1904 il fit valoir le temps 
du’il consacrait à cette besogne pour solliciter 
une indemnité annuelle de 7 500 fes en méme 
temps qu'’un titre consulaire. En 1908 il 
touchait 40 000 fes à titre de traitement et de 
frais de repésentation, sans préjudice d’indem- 
nités supplémentaires pour déplacement et 
frais divers à justiffter. Ces dernières indem- 
nités sc sont éclevées par moment à des sommes 
considérables. 
Ces avantages ne sont pas les seuls due 
M. Whitcley obtint de IEtat Indeépendant. 
Quand se fonddrent „I'/American Congo Co.“ct 
la „Société Forestière et Minièrc“ il sollicita très 
vivement des places d’'administrateur dans 
chacune de ces scciéctés. II en obtint une dans 
la Société Forestière et Minièöre. Au meme 
moment, il réclama de IEtat le paiement d’une 
somme de 100 000 fes, moitié en argent moitié 
en titres en invoquant le concours qu’il aurait 
prété dans les négociations avcc le groupe 
finaneier américain. En réalité Whiteley 
n’'avnit rendu aucun service dans cctte affairc 
rod P’on ne put Pemployer activement à cause 
des répugnances due les financiers américams 
montrörent ouvertement à se trouver en 
contact avec lui. 
Finalement NM. W’hiteley se vit necorder au 
Congoe une coneession due Uon sait en des 
circonstances qui peurent paraitre sus- 
becles. 
Tel fut le caraetère des relations entre 
Whiteley et le Gouvernement congolais. Ce
	        
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