détention n'étaient pas régulièrement
acquittés, les dits déserteurs seront
remis en liberté, sans qu’ils puissent
étre arrétés de nouveau pour la
méme cause.
Si le déserteur avait commis
quelque crime ou délit à terre, I’auto-
rité locale pourrait surseoir à l'ex-
tradition jusqu’a ce que le tribunal
eut rendu la sentence et que celle-ci
eùt recu pleine et entière execution.
Les hautes parties contractantes
conviennent que les marins ou autres
individus de l'’équipage, sujets du
pays dans lequel s'effectuera la dé-
sertion, sont exceptés des stipulations
du présent article.
Article XlIII.
Toutes les fois qu'il n'y aura pas
de stipulations contraires entre les
armateurs, chargeurs et assureurs
les avaries que les navires des deux
pays auront souffertes en mer, soit
qu’ils entrent dans les ports respectifs
volontairement ou par relache forcée,
seront réglées par les consuls-géné-
raux, consuls, vice-consuls ou agents
consulaires de leur nation, à moins
que des sujets du pays dans lequel
résideront les dits agents ou ceux
d’une tierce puissance, ne soient
interessécss dans ces avaries; dans
ce cas, et à défaut de compromis
amiables entre toutes les parties
intéressees, elles devront étre réglées
par l'autorité locale.
Article XIV.
Lorsqu’un navire appartenant au
Gouvernement ou à des sujets de
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—
tung nicht regelmäßig berichtigt werden,
so sollen die gedachten Deserteure in Frei-
heit gesetzt werden, ohne aus demselben
Grunde wieder verhaftet werden zu können.
Sollte der Deserteur am Lande ein
Verbrechen oder ein Vergehen begangen
haben, so kann die Lokalbehörde die Aus-
lieferung aussetzen, bis das Gericht die
Entscheidung gefällt hat und diese voll-
ständig vollstreckt worden ist.
Die hohen vertragenden Theile sind
darüber einverstanden, daß Seeleute oder
andere Personen der Mannschaft, welche
Angehörige des Landes sind, in welchem
die Desertion stattfindet, von den Be-
stimmungen dieses Vertrages ausgenom-
men sind.
Artikel 13.
Falls nicht Verabredungen zwischen
Rhedern, Befrachtern und Versicherern
entgegenstehen, werden die von Schiffen
beider Länder in See erlittenen Havereien,
sei es, daß die Schiffe in die betreffenden
Häfen freiwillig oder als Nothhafen ein-
laufen, jederzeit von den Generalkonsuln,
Konsuln, Vizekonsuln oder Konsularagen-
ten ihrer Nation regulirt.
Sollten jedoch Angehörige des Lan-
des, in welchem die gedachten Beamten
ihren Sitz haben, oder Angehörige einer
dritten Macht bei der Haverei betheiligt
sein, so muß dieselbe in Ermangelung
einer gütlichen Einigung zwischen allen
Betheiligten von der Lokalbehörde regu-
lirt werden.
Artikel 14.
Wenn ein Regierungsschiff oder ein
Schiff eines Angehörigen eines der hohen