Full text: Reichs-Gesetzblatt. 1875. (9)

détention n'étaient pas régulièrement 
acquittés, les dits déserteurs seront 
remis en liberté, sans qu’ils puissent 
étre arrétés de nouveau pour la 
méme cause. 
Si le déserteur avait commis 
quelque crime ou délit à terre, I’auto- 
rité locale pourrait surseoir à l'ex- 
tradition jusqu’a ce que le tribunal 
eut rendu la sentence et que celle-ci 
eùt recu pleine et entière execution. 
Les hautes parties contractantes 
conviennent que les marins ou autres 
individus de l'’équipage, sujets du 
pays dans lequel s'effectuera la dé- 
sertion, sont exceptés des stipulations 
du présent article. 
Article XlIII. 
Toutes les fois qu'il n'y aura pas 
de stipulations contraires entre les 
armateurs, chargeurs et assureurs 
les avaries que les navires des deux 
pays auront souffertes en mer, soit 
qu’ils entrent dans les ports respectifs 
volontairement ou par relache forcée, 
seront réglées par les consuls-géné- 
raux, consuls, vice-consuls ou agents 
consulaires de leur nation, à moins 
que des sujets du pays dans lequel 
résideront les dits agents ou ceux 
d’une tierce puissance, ne soient 
interessécss dans ces avaries; dans 
ce cas, et à défaut de compromis 
amiables entre toutes les parties 
intéressees, elles devront étre réglées 
par l'autorité locale. 
Article XIV. 
Lorsqu’un navire appartenant au 
Gouvernement ou à des sujets de 
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— 
tung nicht regelmäßig berichtigt werden, 
so sollen die gedachten Deserteure in Frei- 
heit gesetzt werden, ohne aus demselben 
Grunde wieder verhaftet werden zu können. 
Sollte der Deserteur am Lande ein 
Verbrechen oder ein Vergehen begangen 
haben, so kann die Lokalbehörde die Aus- 
lieferung aussetzen, bis das Gericht die 
Entscheidung gefällt hat und diese voll- 
ständig vollstreckt worden ist. 
Die hohen vertragenden Theile sind 
darüber einverstanden, daß Seeleute oder 
andere Personen der Mannschaft, welche 
Angehörige des Landes sind, in welchem 
die Desertion stattfindet, von den Be- 
stimmungen dieses Vertrages ausgenom- 
men sind. 
Artikel 13. 
Falls nicht Verabredungen zwischen 
Rhedern, Befrachtern und Versicherern 
entgegenstehen, werden die von Schiffen 
beider Länder in See erlittenen Havereien, 
sei es, daß die Schiffe in die betreffenden 
Häfen freiwillig oder als Nothhafen ein- 
laufen, jederzeit von den Generalkonsuln, 
Konsuln, Vizekonsuln oder Konsularagen- 
ten ihrer Nation regulirt. 
Sollten jedoch Angehörige des Lan- 
des, in welchem die gedachten Beamten 
ihren Sitz haben, oder Angehörige einer 
dritten Macht bei der Haverei betheiligt 
sein, so muß dieselbe in Ermangelung 
einer gütlichen Einigung zwischen allen 
Betheiligten von der Lokalbehörde regu- 
lirt werden. 
Artikel 14. 
Wenn ein Regierungsschiff oder ein 
Schiff eines Angehörigen eines der hohen
	        
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