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indiqués dans le mémoire ci-joint Comme propre peut-eétre à la
compensation de ma perte en revenus, tels due le Saalkreis,
renfermant la ville de Wettin, d’on ma Maison tire son origine
meme, et la principauté d’Erfort, qui a appartenu à mes an-
côtres. NMais je remets le tont à la magnanimité de V. M.“
3.
Friedrich August an Napoleon 26. Juni 1809:
„b Aux peines momentandes due jeprouve d’etre éloigné de
mon royaume, s’en joint une nouvelle, que je ne saurais me
dispenser de communiquer incessument à V. M. Ello croira bien,
due je M’éprouverais pas cette peine, si j’avais été en Sare.
Mon Conseil privé, auquel Javais luissé la gestion des
aflaires de TPintérieur du pays tranger à celle de lu politique
vient de commettre la faute, d’énoncer son vœu pour le sou-
lagement de mos états des exactions de Pennemi en commençant
Par# udresser un mémoire mal conçu au commissaire de IEm-
Pereur d’Autriche et onsuite en se permettant méme Tenvoi
DTun député à cet Empereur et à IArchiduc Charles.
Non content d’avoir desavoué déia publiquement cette
démarche, pour en prévenir tous les abus et T’avoir renvoyé
à mon conseil duns les bornes de sa commission en lui don-
nant à connaitre toute ma désapprobation, j’ui pris en atten-
dant les mesures les plus efficaces pour obvier pour T’avenir
àa de semblables fautes, trop sensibles à mon ceeur malgré
ma juste confiance dans la fagon de V. M. de m’apprccier.“
4.
Napoleon an den König Friedrich August, Schönbrunn 27. Juli
1809 (nach Frankfurt) ½:
„Monsieur Mon Frere.
Je rçois la letire de V. M. du 20 juillet, qaue me porte
le general Funck. Je la prie d’en recovoir mes remercimens.
1) Dieser und die folgenden Briefe des Kaisers Napoleon fehlen in
d#er Correspondance de Napoléon.
