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dem Kriegsgericht beteiligt gewesen sei, während
doch Lothaire Richter und Strafvollstrecker in
einer Person war. Charakteristisch ist es, daß
Stanley auch in diesem Brief wieder hervorhebt,
daß das Foreign Office von der Sache nicht viel
Aufhebens machen würde, wenn es nicht von der
Presse getrieben würde.
In dieser Richtung hatte der Daily Telegraph
nicht Unrecht, als er sich am Schlusse des ganzen
im Sande verlaufenen Verfahrens gegen Lothaire
am 7. August 1896 dahin äußerte: „For a far
less important matter where Englishmen
suffered harm, we marched through Abessinia
and expended 7 millions of moncy."
Auch bei andern Gelegenheiten, wie z. B. bei
der Austreibung und schweren Schädigung ange-
sehener Liverpooler Handelsfirmen, John Holt
usw., aus den Gebieten der Konzessionsgesell-
schaften in Französisch-Kongo hat man ja gesehen,
daß die englische Regierung durchaus nicht in
allen Fällen bereit ist, die Interessen ihrer Lands-
leute zu schützen, wenn dies ihre politischen Zirkel
— in diesem Falle die entente cordiale mit
Frankreich — stört. Das „eivis romanus sum“
hat also auch für den Engländer nur eine be-
dingte Bedeutung!
Deutschland gegenüber hatte sich der Kongo-
staat, wie wir oben sahen, verpflichtet, außer den
100 000 Franken auch noch je 1000 Mark für die
Angehörigen derjenigen Träger aus Deutsch-Ost-
afrika als Entschädigung zu zahlen, die bei der
Stokes-Affäre ihr Leben verloren hatten. Die
Ermittelungen und Feststellungen, die das
Deutsch-Ostafrikanische Gouvernement nach dieser
Richtung veranstalten mußte, erforderten natür-
lich sehr viel Zeit, und daher kam es, daß die
deutsche Regierung durch die Gesandtschaft in
Brüssel den Kongostaat erst in einer Note vom
I4. Dezember 1898 die betreffenden Nachweise
und Forderungen übermitteln konnte. Es war in
Ostafrika durch das Gouvernement festgestellt
worden, daß 24 der Stokes'schen Träger ihr
Leben verloren und nicht in ihre Heimat zurück-
gekehrt waren. Der Kongostaat wurde daher in
der Note aufgefordert, noch 24000 Mark Ent-
schädigung zu zahlen. Nach Eingang dieser For-
derung richtete de Cuvelier an den König unter
dem 16. Dezember 1898 folgende Note:
Le Gouvernement allemand, revenant sur
’affaire Stokes, produit une réclamation à
coup sür inattendue trois ans après le régle-
ment de cette affaire. Par la lettre dont
j'ai PThonneur de joindre iei la traduction, le
Comte d’Alvensleben réclame une indemnité
de 1000 M pour chacun des 24 hommes de la
caravane Stokes qui ne seraient pas revenus
dans le Protectorat allemand. II base cette
réclamation sur les assurances données par
I’Etat dans la correspondance éCchangée en
1895; ci-joints les extraits de cette corre-
spondance. ·
II suffit de lire ces extraits pour constater
due cette indemnité de mille M. par homme
manquant ne devait etre payée due si ces
hommes étaient retenus illégalement. Or,
non seulement cette détention n'’est pas
stablie et ne l’'a pas é6té par Tinstruction du
procès Lothaire, mais la lettre allemande ne
fournit meme aucun élément de preuve que
la mort ou la disparition prétendue de ces
24 hommes soit en rapport duelconque avec
I’exécution de Stokes. Au surplus on ne peut
as accepter aveuglement les résultats des
enqustes faites dans le Protectorat allemand;
dans une autre affaire, celle de Magid ben
Said on U’on accusait également nos agents
d’avoir procédé à une détention arbitraire et
à une lacération de documents officiels alle-
mands le Gouvernement a dü reconnaitre que
sa plainte n’'stait pas fondée.
II y7 a donc moyen de résister à la de-
mande du Comte d’Alvensleben à meins de
motifs spéciaux d’ordre politique de donner
encore satisfaction au Gouvernement alle-
mand. (8.) A. de Cuvelier.
Der König schrieb darauf an Cluvelier fol-
gende Notiz:
„Veuillez aller trouver A. de Favereau
(den belgischen Minister des ÄAußeren) et lui de-
mander conseil de ma part pour lui dire
due je ne cherche pas à M'abriter derrière le
Ministre mais due tres confiant dans la droi-
ture de son jugement je lui demande son
sentiment personnel, mais je trouve qu’il
Pourrait répondre due I’Etat Congo prenant
acte de la déclaration de IEtat allemand,
du’il s'est livré à une enquste minutieuse et
en se référant à sa promesse antérieure faite
en vue d’étre agréable à I’Etat allemand, tient.
à la disposition de I’Etat allemand les
24 000 M visés par la lettre du Cte. d’'Alvens-
leben du... les préparer on et comment il
lui sera indiqué. Veuillez me rendre compte
aussitöt due possible de cette analyse dont le
résultat sera intéressant.
Daraufhin berichtete de Cuvelier am 20. De-
zember 1898:
Jote pour le Roi.
Jai Phonneur de faire savoir au Roi due
M. de Favereau consulté au sujet de la der-
nière réclamation allemande, a Emit l'avis,