224 Achtundzwanzigstes Kapitel: Berliner Congreß.
Des affaires particulières me röclament impérieusement en
Russie; je compte demander un court congé aussitöt qu’une
décision sera prise chez nous dans un sens ou dans lautre.
J’espère, mon cher Prince, que vous me permettrez de vous
voir à mon passage par Berlin — jy tiens Gnormément.
Excusez la longueur de cette lettre pour la raison due
Vvous n’avez pas un seul mot à y répondre.
Recevez encore une fois, cher Prince, mes chaleureux re-
merciements pour votre „kindness“ et pour votre lettre, à la-
quelle je ne fais qu'une seule objection, c'est la facon dont
vous parlez malheureusement de votre santé. — Dieu la sou-
tiendra, j'#en suis sür, Ccomme I préserve tout ce qui est utile
à des millions d'’hommes et à la préservation de grands et de
Vastes intérets.
Soyez assuré, cher Prince, due vous trouverez toujours
een moi plus meme qu'un admirateur, dont le nombre est
assez grand sans moi, mais un homme qui vous est sincèere-
ment attaché et dévoué de tout coeur.
Schouvaloff.
Noch vor dem Congreß berührte Graf Schuwalow die Frage
eines russisch-deutschen Schutz= und Trutzbündnisses und stellte sie
direct. Ich besprach mit ihm offen die Schwierigkeiten und Aus-
sichten, die die Bündnißfrage und zunächst, wenn der Dreibund der
Ostmächte nicht haltbar wäre, die Wahl zwischen Oestreich und Ruß-
land für uns habe. Er sagte unter Anderm in der Diseussion:
„vous avez le cauchemar des coalitions“, worauf ich erwiderte:
nécessairement“. Als das sicherste Mittel dagegen bezeichnete er
ein festes, unerschütterliches Bündniß mit Rußland, weil bei Aus-
schluß der letztern Macht aus dem Kreise unfrer Coalitionsgegner
keine für uns lebensgefährliche Combination möglich sei.
Ich gab dies zu, sprach aber meine Befürchtung aus, daß die
deutsche Politik, wenn sie ihre Möglichkeiten auf das russische Bünd-