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Protokoll Nr. 2 abgesteckt und hierbei dieselbe Ent-
fernung zu 50 589,30 m gefunden. Er habe
seinen Punkt am Seeufer 5 m südlich von dem
der deutschen Kommission gefunden. Dies Resultat
halte er für ein sehr befriedigendes, da gemäß
Instruktion den Kommissionen eine Differenz von
3“ in Breite oder von 92,172 m gestattet worden
sei, während die gefundene Abweichung nur
0,81 betrage.
Man einigte sich auf das Mittel der beiden
Längenmessungen, nämlich auf 50 582,80 m, und
auf das Mittel der Breitenabweichung, nämlich
auf 2,5 m, und markierte den Punkt des Parallels
am See um 2,5 m südlich vom Punkte der
deutschen Kommission.
Hierauf wurde die Frage des gegenseitigen
Gebietsaustausches erwogen, behufs Ausnutzung
des durch natürliche Grenzen gebotenen Vorteils.
Als allgemeiner Grundsatz wurde aufgestellt,
daß das zum Austausch vorgesehene Gebiet mög-
lichst gleichwertig und gleichartig sein müsse, also
auch nahe beieinander liegen solle, und daß sonst
der Grenzparallel bei der Vermarkung nicht zu
verlassen sei, ausgenommen wenn eine dicht dabei
liegende Kuppe es ermöglichen sollte, einen Grenz-
bfeiler besser sichtbar zu machen. Von vornherein
war man darüber einig: 1. den Msinje-Fluß als
natürliche Grenze zu benutzen von seiner Vereini-
gung mit dem Rowuma an bis zu dem Punkt,
wo er 1045 m weiter westlich vom Grenzparallel
geschnitten wird, so daß das von seinem rechten
Ufer und dem Grenzparallel umgrenzte Stück Land
mit 652 678 qm Fläche zum portugiesischen Ge-
biet gehören soll.
2. Den Lauf des Msinje weiter als natürliche
Grenze zu benutzen bis zur Einmündung eines
Baches in sein linkes Ufer etwa 3 km westlich
und von hier an diesen Bach zu benutzen bis zu
seinem Schnittpunkt mit dem Grenzparallel etwa
5700 m westlich vom Vereinigungspunkt Msinje-
Rowuma, so daß das vom linken Msinje-Ufer,
dem Bach und dem Parallel umgrenzte Stück
Land von 3 857 300 am deutsches Gebiet werden
soll. Weiter westlich soll die Grenze bis zu dem
nach Mtengula führenden Wege dem Grenzparallel
solgen, der bereits durch den Wald auf eine Länge
von 12 600 m abgesteckt ist. Vom Mtengula-Wege
bis zum Gebirge folgt die Grenze einer Linie, die
diesen Punkt mit einem kleinen Gipfel verbindet,
der 318,15 m nördlich vom Grenzparallel liegt.
Dadurch wird ein Stück von 1 304 880 am por-
lgiesisch. Es sind dann noch 1 899 742 qm
deutscherseits abzugeben, um den Msinje-Streifen
zu kompensieren. Durch Führung einer Linie vom
vorgenanten Gipfel bis zu einem 10,6 km westlich
ausf indications qdu'’il a données au Procès-
Verbal No. 2. La distance du'il a trouveée est
de 50 589 m, 30. II a trouvé Sson peint
d’intersection au bord du lac à 5m au sud
de celui de la commission allemande. II est
d’avis due Cce résultat est très satisfaisant,
vu due les instructions accordent aux com-
missions une tolérance de 3“ en latitude, ou
de 92 m, 172, la différence trouv#ée n’'stant due
de 0“,81.
On convint de prendre la moyenne, soit;:
50 582 m,80 pour la distance, et 2 m, 5 pour
la différence des latitudes, et on marqua le
point d’intersection du paralldle avec le bord
du lac à une distance de 2 m, 5 au sud du
point trouvé par la commission allemande.
Puis on examina la question des Schanges
réciproques de territoires, en vue des avantages
d'une frontière naturelle.
On établit comme principe général due les
terrains à GCchanger devaient avoir autant due
possible la méme valeur et étre de méme na-
ture, et que, par conséquent, ils devaient étre
proches P’un de I’autre, et que, autrement, on
ne 8S’'écarterait pas de la frontière pour le
bornage, 4 moins qu’il ne se trouve tout pres
un mamelon onu I’on puisse mettre une borne
plus facilement visible. De prime abord on
fut d’accord: 1. De prendre comme frontière
naturelle le Msinje, depuis son confluent avec
le Rovuma jusqu'au point d’intersection avec
le parallèle, point situé à 1045 m vers Il'ouest,
de sorte qdue le terrain délimité par sa rive
droite et le parallèle frontière et ayant une
superficie de 652 678 m. c. ferait partie du
territoire portugais.
2. De reprendre le cours du Msinje comme
frontière naturelle, jusqu'’au point odn il recoit,
sur sa rive gauche, une rivière, à peu pres
à trois kilometres vers l’ouest. A partir de
ce point, la frontière suivrait cette rivière
jusqufä son point d’intersection avec le pa-
rallèle frontière, à peu près à 5700 m à D’ouest
du point TW’intersection Msinje-Rovuma, de
sorte due le terrain délimité par la rive gauche
du Nsinje, par la rivière et le parallèle, et
mesurant 3 857 300 m. c. serait territoire alle-
mand. Plus loin, vers l'’ouest, la frontière
devra, jusqu'’au chemin qui conduit à Mtengula,
Suivre le parallele frontière déjà tracé à travers
la foréèt par un layon de 12 600 metres. Du
chemin de Mtengula jusqu'à la montagne, la
frontière suit une ligne allant de ce peint
jusqu’'’à une eime peu élevée située à 318 m, 15
au nord du parallèle frontière. Par cette
délimitation une superficie de 1 304 880 me.e.
deviendra territoire portugais, et il restera