Full text: Deutsches Kolonialblatt. XXI. Jahrgang, 1910. (21)

W 123 e. 
Protokoll Nr. 2 abgesteckt und hierbei dieselbe Ent- 
fernung zu 50 589,30 m gefunden. Er habe 
seinen Punkt am Seeufer 5 m südlich von dem 
der deutschen Kommission gefunden. Dies Resultat 
halte er für ein sehr befriedigendes, da gemäß 
Instruktion den Kommissionen eine Differenz von 
3“ in Breite oder von 92,172 m gestattet worden 
sei, während die gefundene Abweichung nur 
0,81 betrage. 
Man einigte sich auf das Mittel der beiden 
Längenmessungen, nämlich auf 50 582,80 m, und 
auf das Mittel der Breitenabweichung, nämlich 
auf 2,5 m, und markierte den Punkt des Parallels 
am See um 2,5 m südlich vom Punkte der 
deutschen Kommission. 
Hierauf wurde die Frage des gegenseitigen 
Gebietsaustausches erwogen, behufs Ausnutzung 
des durch natürliche Grenzen gebotenen Vorteils. 
Als allgemeiner Grundsatz wurde aufgestellt, 
daß das zum Austausch vorgesehene Gebiet mög- 
lichst gleichwertig und gleichartig sein müsse, also 
auch nahe beieinander liegen solle, und daß sonst 
der Grenzparallel bei der Vermarkung nicht zu 
verlassen sei, ausgenommen wenn eine dicht dabei 
liegende Kuppe es ermöglichen sollte, einen Grenz- 
bfeiler besser sichtbar zu machen. Von vornherein 
war man darüber einig: 1. den Msinje-Fluß als 
natürliche Grenze zu benutzen von seiner Vereini- 
gung mit dem Rowuma an bis zu dem Punkt, 
wo er 1045 m weiter westlich vom Grenzparallel 
geschnitten wird, so daß das von seinem rechten 
Ufer und dem Grenzparallel umgrenzte Stück Land 
mit 652 678 qm Fläche zum portugiesischen Ge- 
biet gehören soll. 
2. Den Lauf des Msinje weiter als natürliche 
Grenze zu benutzen bis zur Einmündung eines 
Baches in sein linkes Ufer etwa 3 km westlich 
und von hier an diesen Bach zu benutzen bis zu 
seinem Schnittpunkt mit dem Grenzparallel etwa 
5700 m westlich vom Vereinigungspunkt Msinje- 
Rowuma, so daß das vom linken Msinje-Ufer, 
dem Bach und dem Parallel umgrenzte Stück 
Land von 3 857 300 am deutsches Gebiet werden 
soll. Weiter westlich soll die Grenze bis zu dem 
nach Mtengula führenden Wege dem Grenzparallel 
solgen, der bereits durch den Wald auf eine Länge 
von 12 600 m abgesteckt ist. Vom Mtengula-Wege 
bis zum Gebirge folgt die Grenze einer Linie, die 
diesen Punkt mit einem kleinen Gipfel verbindet, 
der 318,15 m nördlich vom Grenzparallel liegt. 
Dadurch wird ein Stück von 1 304 880 am por- 
lgiesisch. Es sind dann noch 1 899 742 qm 
deutscherseits abzugeben, um den Msinje-Streifen 
zu kompensieren. Durch Führung einer Linie vom 
vorgenanten Gipfel bis zu einem 10,6 km westlich 
ausf indications qdu'’il a données au Procès- 
Verbal No. 2. La distance du'il a trouveée est 
de 50 589 m, 30. II a trouvé Sson peint 
d’intersection au bord du lac à 5m au sud 
de celui de la commission allemande. II est 
d’avis due Cce résultat est très satisfaisant, 
vu due les instructions accordent aux com- 
missions une tolérance de 3“ en latitude, ou 
de 92 m, 172, la différence trouv#ée n’'stant due 
de 0“,81. 
On convint de prendre la moyenne, soit;: 
50 582 m,80 pour la distance, et 2 m, 5 pour 
la différence des latitudes, et on marqua le 
point d’intersection du paralldle avec le bord 
du lac à une distance de 2 m, 5 au sud du 
point trouvé par la commission allemande. 
Puis on examina la question des Schanges 
réciproques de territoires, en vue des avantages 
d'une frontière naturelle. 
On établit comme principe général due les 
terrains à GCchanger devaient avoir autant due 
possible la méme valeur et étre de méme na- 
ture, et que, par conséquent, ils devaient étre 
proches P’un de I’autre, et que, autrement, on 
ne 8S’'écarterait pas de la frontière pour le 
bornage, 4 moins qu’il ne se trouve tout pres 
un mamelon onu I’on puisse mettre une borne 
plus facilement visible. De prime abord on 
fut d’accord: 1. De prendre comme frontière 
naturelle le Msinje, depuis son confluent avec 
le Rovuma jusqu'au point d’intersection avec 
le parallèle, point situé à 1045 m vers Il'ouest, 
de sorte qdue le terrain délimité par sa rive 
droite et le parallèle frontière et ayant une 
superficie de 652 678 m. c. ferait partie du 
territoire portugais. 
2. De reprendre le cours du Msinje comme 
frontière naturelle, jusqu'’au point odn il recoit, 
sur sa rive gauche, une rivière, à peu pres 
à trois kilometres vers l’ouest. A partir de 
ce point, la frontière suivrait cette rivière 
jusqufä son point d’intersection avec le pa- 
rallèle frontière, à peu près à 5700 m à D’ouest 
du point TW’intersection Msinje-Rovuma, de 
sorte due le terrain délimité par la rive gauche 
du Nsinje, par la rivière et le parallèle, et 
mesurant 3 857 300 m. c. serait territoire alle- 
mand. Plus loin, vers l'’ouest, la frontière 
devra, jusqu'’au chemin qui conduit à Mtengula, 
Suivre le parallele frontière déjà tracé à travers 
la foréèt par un layon de 12 600 metres. Du 
chemin de Mtengula jusqu'à la montagne, la 
frontière suit une ligne allant de ce peint 
jusqu’'’à une eime peu élevée située à 318 m, 15 
au nord du parallèle frontière. Par cette 
délimitation une superficie de 1 304 880 me.e. 
deviendra territoire portugais, et il restera
	        
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