hospitalier, se distingueront par une
Deinture analogue.
Tous les bätiments hospitaliers se
feront reconnaitre en hissant, avec
leur pavillon national, le pavillon
blanc à croix rouge prévu par la
Convention de Genevc.
Article 6.
Les bätiments de commerce, yachts
Ou erlmnbarcations neutres, portant ou
recueillant des blessés, des malades
ou des naufragés des belligérants,
ne peuvent étre capturés pour le
fait de ce transport, mais ils restent
exposés à la capture pour les vio-
lations de neutralite dwils pourraient
avoir commises.
Article 7.
Le pDersonnel religienx, médical et
hospitalier de tout bätiment capturé
est inviolable et ne peut étre fait
Drisonnier de guerre. II emporte, en
quittant le navire, les objets et les
instruments de chirurgie qui sont sa
Propricté particulière.
Ce Personnel contimera à remplir
Ses fonctions tant que cela sera néeces-
Saire ct il pourra ensuite se retirer
TLorsque le commandant en chef le
Jugera Dossible.
Les belligérants doivent assurer
à ce personnel tombé entre leurs
mains la jouissance intégrale de son
traltement.
Article 8.
Les marins et les militaires em-
barqués blessées doumalades, à quelque
nation qu’ils appartiennent, Sseront
ProtégéS et soignés Par les capteurs.
Reichs-Gesetbl. 1901.
465
–—.
Alle Lazarethschiffe sollen sich dadurch
erkennbar machen, daß sie neben der
Nationalflagge die in der Genfer Kon-
vention vorgesehene weiße Flagge mit
dem rothen Kreuze hissen.
Artikel 6.
Handelsschiffe, Yachten oder neutrale
Fahrzeuge, die Verwundete, Kranke oder
Schiffbrüchige der Kriegsparteien an Bord
genommen haben, können aus diesem
Anlasse nicht weggenommen werden, aber
sie bleiben der Wegnahme ausgesetzt im
Falle von Neutralitätsverletzungen, deren
sie sich etwa schuldig gemacht haben.
Artikel 7.
Das geistliche, ärztliche und Lazareth=
personal weggenommener Schiffe ist un-
verletzlich und kann nicht kriegsgefangen
gemacht werden. Es ist berechtigt, beim
Verlassen des Schiffes die Gegenstände
und chirurgischen Instrumente, die Privat-
eigenthum sind, mit sich zu nehmen.
Es soll jedoch seine Dienste solange
weiter leisten, als es nothwendig er-
scheint, und kann sich erst dann zurück-
ziehen, wenn der Befehlshaber des Schiffes
es für zulässig erklärt.
Die Kriegsparteien sind verpflichtet,
diesem Personale, wenn es in ihre Hände
fällt, den vollen Genuß der Gebührnisse
zu sichern.
Artikel 8.
Die an Bord befindlichen Marine-
und Militärpersonen, die verwundet oder
krank sind, sollen von der Partei, die
das Schiff genommen hat, ohne Unter-
schied der Nationalität geschützt und ge-
pflegt werden.
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